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mercredi 26 décembre 2012


Nous vous souhaitons une excellente Année 2013 Que tous vos souhaits soient exaucés et plus encore Gérard de Laune Ecofute.net

mardi 18 décembre 2012

Enfin un kit économiseur de carburant pour le GPL, GNV et controlé par VERITAS


La dernière innovation issue de notre département de R & D est exclusivement destiné aux moteurs essence ou gaz, il s’installe rapidement toujours sans modification du bloc moteur. Il permet d’adopter un geste éco-citoyen en toute simplicité, tout en réalisant des économies de carburant. ECONOKIT GAS fonctionne, et c’est la vrai révolution, sans avoir à ajouter de l’eau et toujours sans entretien. La plus grande différence : l’équipement ECONOKIT GAS est totalement autonome puisque la spécificité des moteurs essence ou gaz permet de recycler l’eau produite par la combustion du carburant. Le procédé utilisé pour les systèmes est simple : modifier la composition de l’air nécessaire à la combustion du carburant. Pour fonctionner le moteur à besoin de deux éléments : le carburant et le comburant (oxygène de l’air). Le système ECONOKIT intervient sur ce deuxième composant : il transforme l’air humide en gaz, pour optimiser la combustion du carburant et offrir un meilleur rendement au moteur. Lors de la combustion du carburant, un moteur essence produit de la chaleur et de l’eau : une molécule d’essence brûlée produit 9 molécules d’eau. Le système Econokit Gas recycle cette eau récupérée à la sortie du pot d’échappement. La combustion de l’essence produit de la chaleur, Econokit Gas utilise (recycle) cette chaleur. Aucune autre énergie n’est nécessaire pour son fonctionnement. L’eau est récupérée par le collecteur à la sortie du pot
d’échappement, elle est traitée par le réacteur d’ECONOKIT GAS, puis vaporisée sous forme de gaz dans la chambre à combustion par l’entrée d’air du moteur. Ce traitement permet d’augmenter la disponibilité de l’oxygène. Ainsi, la combustion du carburant est optimisée, réduisant les émissions de gaz polluants et améliorant le rendement du carburant. Les deux produits ECONOKIT et ECONOKIT GAS jouent pleinement leur rôle d’anti-pollueur et d’économiseur de carburant. Comment s'installe ECONOKIT GAS ? Econokit Gas s'installe en 1h30 sur tous les moteurs essence. Le matériel requis est: Une pince frontale Une pince coupante Une clef de 7 (ou tournevis plat) Bureau Veritas: un laboratoire indépendant teste le système Econokit L'Econokit d'ecofute.net: des résultats mesurés et constatés scientifiquement. Loin des gadgets farfelus et des faux procédés ! De nombreux économiseurs de carburant existent sur le marché: additifs carburant, économiseurs de carburant magnétiques...mais jusqu'à ce jour, aucun d'entre eux n'a fait ses preuves. C'est pourquoi, nous avons décidé de faire contrôler notre solution par un organisme leader dans
son domaine : Le BUREAU VERITAS Test : Contrôle des émissions atmosphériques sur un véhicule (Berline diesel de 2006) avant Econokit et après l'installation d'un Econokit, grâce à un banc à rouleaux freiné. Résultats: L’installation de l’Econokit a permis à BUREAU VERITAS d’enregistrer des diminutions significatives de concentrations en gaz polluants contenus dans l’échappement du véhicule ayant servi de base pour ces tests. De façon pragmatique, les émissions de CO2 ont été réduites de 15,5% tandis que les émissions de gaz polluants (CO et NOx) ont été diminuées de 25,5% mais ce sont les rejets de particules de Carbone imbrûlées
qui ont été le plus grandement réduites : 73,4%. Par la prise OBD du véhicule, il a été observé une réduction de 27% de la consommation en carburant du véhicule lors de ces tests. Synthèse des résultats Ces tests d’efficacité de l’Econokit ont permis de démontrer de façon scientifique son impact en termes de : Réduction de la consommation de carburant du véhicule (-27% de consommation de diesel ) Baisse du volume des émissions de gaz d’échappement (-15,5% de CO2) Baisse de la concentration en gaz polluants (-8,4% de Monoxyde de Carbone et -26,7% des Oxydes et Dioxydes d’Azote) Baisse en volume des émissions en gaz polluants (-17,3% de Monoxyde de Carbone et -33,9% des Oxydes et Dioxydes d’Azote) Diminution en concentration des émissions de particules de 70,5% Diminution en volume émissions de particules de 73,4% Réduction importante des dépôts de calamine dans la chambre de combustion (résidus d’imbrûlés, vanne EGR) L’action permet d’augmenter le rendement énergétique du carburant injecté dans le moteur : la même quantité de carburant apporte plus d’énergie au moteur. A puissance développée identique, on accélère moins avec l’Econokit. Cette réduction d’accélération entraîne mécaniquement une baisse de la consommation de carburant. La baisse de consommation de carburant entraîne elle-même : Une baisse de production des gaz d’échappement Une diminution en volume du CO2 émis Allez sur ce lien http://www.ecofute.net/infos-automobile/new-kit-pour-gpl/ A bientôt Gérard

mercredi 12 décembre 2012

LES CONTRAINTES DU GNR


LES CONTRAINTES DU GNR
Un ester à haut pouvoir décapant Le soufre avait une propriété lubrifiante dans le moteur. Sa réduction a rendu nécessaire l’ajout d’un biocarburant, l’Ester Méthylique d’Acide Gras (EMAG), qui a également une propriété détergente qui décape les cuves et réservoirs. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des particules en suspension dans le réservoir provenant des dépôts sur parois ou fond de cuves, ce qui vient potentiellement encrasser les filtres. Selon la circulaire du 17 décembre 2010, le fioul étant un produit fossile générant toujours des dépôts en fond de cuve, un nettoyage complet est donc recommandé. En savoir plus sur les Filtres Gazole Non routier Un carburant qui supporte mal le stockage longue durée L’ EMAG étant hydrophile (absorbe l’eau) une attention particulière doit être apportée à la présence d’eau dans les réservoirs, qui peut potentiellement favoriser l’apparition de bactéries. L’EMAG peut également réduire la stabilité au stockage du Gazole Non Routier et limite sa durée de conservation à 6 mois suivant la saison. A signaler qu’en cas d’immobilisation d’un engin sur plus de 6 mois, une vidange du réservoir peut être nécessaire pour éviter le risque d’altération du GNR, si celui-ci n’est pas additivé pour une plus longue conservation.
En savoir plus sur les Additifs du Gazole Non Routier Une tenue au froid moins importante Le GNR ne peut pas être utilisé indifféremment selon la saison. Sa faible tenue aux basses températures a rendu obligatoire l’utilisation d’une version été d’avril à octobre (minimum 0°C) et hiver de novembre à mars avec additif antigel (minimum –15°C). Ceci crée des contraintes de stockage importantes, limitant son utilisation à 6 mois ou entraînant le recours à plusieurs cuves de stockage. Dans tous les cas, un changement de GNR de l’été vers l’hiver et inversement, nécessite un nettoyage complet de la cuve s’il est stocké dans le même contenant. En savoir plus sur les cuves à Gazole Non Routier Une signalétique sur cuves bien différenciée Les premiers mois entraîneront une obligation de stockage des différents fluides (GNR et Gazole) ce qui entraîne l’obligation de clairement identifier le contenu de chaque cuve. En effet, rien ne permet de différencier visuellement le GNR du fioul traction, les deux carburants disposant de la même coloration fiscale*. Toute erreur est lourde de conséquences : 1 litre de fioul suffit à altérer la qualité de 1000 litres de GNR. En savoir plus sur les cuves à Gazole Non Routier *Source : « Gazole Non Routier : Informations / Recommandation aux utilisateurs » – 4 janvier 2011 –ufip Quel risque pour l’utilisateur en cas d’utilisation du fioul domestique ? En cas d’utilisation de fioul domestique dans les moteurs des engins mobiles non routiers, des tracteurs agricoles et forestiers, des bateaux de plaisance et des bateaux de navigation intérieure au-delà des dates fixées dans l’arrêté du 10 décembre 2010, l’utilisateur s’expose, en cas d’infraction constatée, à une amende douanière au titre de l’utilisation à la carburation d’un produit dont l’utilisation n’a pas été spécialement autorisée par un arrêté. De plus, il est envisagé de mettre en place cette année une sanction supplémentaire à titre environnemental (utilisation d’un carburant contenant une teneur en soufre supérieure à 10 mg/kg, teneur maximale autorisée par la Directive 2009/30/CE).

lundi 10 décembre 2012

Biocarburant a base de mico-algues


Le 7 décembre 2012, un véhicule de série roulant au biocarburant à base de microalgues, sans adaptation spécifique va être dévoilé par Fermentalg, une société de biotechnologie industrielle spécialisée dans la production de molécules à partir des microalgues.
Fermentalg indique avoir déjà produit avec succès ses premiers litres de biodiesel. Le biocarburant de 3ème génération fabriqué par Fermentalg est conforme à la norme européenne EN 14214, qui permet sa commercialisation en France, et à la norme B7 qui le rend compatible avec l'ensemble du parc automobile en circulation sans aucune restriction. Ce respect des normes a été validé par un laboratoire d'analyse des produits pétroliers accrédité Cofrac. Les premiers essais de son biodiesel ont été réalisés fin novembre avec un véhicule utilitaire de série de marque française et sous contrôle d'huissier. Le biocarburant à base de microalgues est une 3ème génération très prometteuse qui offre de hauts rendements en lipides, un impact environnemental contrôlé et l'absence de pression sur les denrées alimentaires. Selon Fermentalg, les microalgues cultivées avec sa technologie ont comme propriété de se nourrir de sous produits de l'industrie agroalimentaire ou chimique. Ainsi, produire ces biocarburants permettra de réduire la facture pétrolière tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. "Une nouvelle fois, Fermentalg se positionne comme un leader dans la production de molécules d'intérêt à partir des microalgues et comme un pionnier en Europe dans la production d'algocarburants. Ces premiers pas couronnés de succès dans le biodiesel confirment l'énorme potentiel des microalgues pour la production de biocarburants de 3ème génération" a déclaré Pierre Calleja, fondateur et PDG de Fermentalg. Fermentalg : Créée en 2009 par Pierre Calleja, Fermentalg est une société de biotechnologie industrielle spécialisée dans la production de molécules à partir des microalgues que l'on retrouve dans les produits du quotidien. Cette technologie brevetée permet d'adresser des marchés mondiaux allant de la nutrition humaine aux biocarburants en passant par l'alimentation animale, la chimie de spécialité et les cosmétiques. Fermentalg a signé une 1ère joint-venture industrielle et commerciale dans le domaine des Omega 3 (EPA-DHA). Un modèle que la société va dupliquer avec d'autres industriels qui sont déjà engagés dans des programmes collaboratifs pilotés par Fermentalg. A bientôt Ecofuté.net

vendredi 23 novembre 2012


Quelle est la différence entre la température réelle et ressentie ?
Le principe de "température ressentie" correspond à une mesure des températures mise en place par Météo France fin 2008, et largement médiatisée depuis seulement quelques années. Les températures ressenties sont celles que le corps humain ressent dans des conditions de vie courante, en extérieur et non protégé du vent. En réalité, cette notion est connue en Amérique du Nord sous le nom de "Wind Chill" depuis de nombreuses années où les conditions hivernales sont habituellement bien plus rudes qu'en France. De quoi s'agit-il ? La température ressentie est un indice (donc théoriquement sans unité) élaboré de manière empirique. Elle dépend du vent, est inférieure de quelques degrés à la température "traditionnelle", et n'est applicable que pour des températures comprises entre 5°C et -45°C. La mesure des températures classiques, telle qu'elle est effectuée par Météo France, se fait sous abri, tandis que les températures ressenties intègrent la force du vent. Cette dernière est inversement proportionnelle de la température ressentie. En d'autres termes : plus le vent souffle fort, plus la température ressentie baisse. On l'appelle aussi refroidissement éolien, ou "facteur vent". Comment explique-t-on ce différentiel ? En période de froid intense, le vent fait évaporer l'eau à la surface du corps, et cette évaporation demande de l'énergie. Cette énergie est prise à l'organisme qui dégage de la chaleur. En conséquence, la sensation de froid induite par le vent s'ajoute à la température réelle de l'air ambiant, ce qui fait baisser la température à la surface du corps. Au Canada, où les températures peuvent atteindre -40°C, la température ressentie est prise très au sérieux à tel point que cette information est affichée un peu partout dans la rue depuis quelques décennies : la connaissance du facteur vent peut en effet aider à prévenir les engelures pouvant potentiellement apparaître seulement une quinzaine de minutes après le début de l'exposition au froid. Comment calcule-t-on la température ressentie ? Il existe une équation dont les variables sont la température ambiante et la vitesse du vent. Ainsi, pour une température sous abri de -5°, avec 30 km/h de vent, on obtient -13 de température ressentie. Avec 50 km/h de vent, cela donne -15. Quelques recherches sur Internet permettent de prendre connaissance d'une foule d'équations faisant également intervenir le rayonnement global et/ou le taux d'humidité : il existe en effet de nombreuses variantes mesurant un indice de ressenti la nuit, à l'ombre ou au soleil. Il s'agit d'une information complémentaire à prendre avec précaution et qu'il faudrait, idéalement, toujours adjoindre à la température "traditionnelle" en degré Celsius, tant cet indice affiche des valeurs extrêmes favorisant le sensationnalisme. Les limites de cette notion Aucun de ces indices n'est parfait. Si la température, la pression ou l'humidité sont des données physiques objectives, la température ressentie fait en revanche intervenir des critères biologiques, dépendant d'une multitude de facteurs (vêtements portés, exposition au soleil...) et variant d'un individu à l'autre (fatigue, stress, effort physique...). Alors, bien sûr, la température ressentie permet de faire prendre conscience de l'importance du vent dans la sensation de froid. Il s'agit également de faire prendre conscience qu'il existe des catégories de population (comme les sans-abris) exposées perpétuellement au froid. Mais il ne faut pas y voir un indicateur absolu, plutôt un indice relatif, sans véracité scientifique (à l'instar de l'humidex prenant en plus en compte l'humidité de l'air, ou encore l'indice solaire). Comment explique-t-on ce différentiel ? En période de froid intense, le vent fait évaporer l'eau à la surface du corps, et cette évaporation demande de l'énergie. Cette énergie est prise à l'organisme qui dégage de la chaleur. En conséquence, la sensation de froid induite par le vent s'ajoute à la température réelle de l'air ambiant, ce qui fait baisser la température à la surface du corps. Au Canada, où les températures peuvent atteindre -40°C, la température ressentie est prise très au sérieux à tel point que cette information est affichée un peu partout dans la rue depuis quelques décennies : la connaissance du facteur vent peut en effet aider à prévenir les engelures pouvant potentiellement apparaître seulement une quinzaine de minutes après le début de l'exposition au froid. Les limites de cette notion Aucun de ces indices n'est parfait. Si la température, la pression ou l'humidité sont des données physiques objectives, la température ressentie fait en revanche intervenir des critères biologiques, dépendant d'une multitude de facteurs (vêtements portés, exposition au soleil...) et variant d'un individu à l'autre (fatigue, stress, effort physique...). Alors, bien sûr, la température ressentie permet de faire prendre conscience de l'importance du vent dans la sensation du froid. Il s'agit également de faire prendre conscience qu'il existe des catégories de population (comme les sans-abris) exposées perpétuellement au froid. Mais il ne faut pas y voir un indicateur absolu, plutôt un indice relatif, sans véracité scientifique (à l'instar de l'humidex prenant en plus en compte l'humidité de l'air, ou encore l'indice solaire). Les limites de cette notion Aucun de ces indices n'est parfait. Si la température, la pression ou l'humidité sont des données physiques objectives, la température ressentie fait en revanche intervenir des critères biologiques, dépendant d'une multitude de facteurs (vêtements portés, exposition au soleil...) et variant d'un individu à l'autre (fatigue, stress, effort physique...). Alors, bien sûr, la température ressentie permet de faire prendre conscience de l'importance du vent dans la sensation du froid. Il s'agit également de faire prendre conscience qu'il existe des catégories de population (comme les sans-abris) exposées perpétuellement au froid. Mais il ne faut pas y voir un indicateur absolu, plutôt un indice relatif, sans véracité scientifique (à l'instar de l'humidex prenant en plus en compte l'humidité de l'air, ou encore l'indice solaire).

dimanche 18 novembre 2012

Maison Possitive


Une maison positive Construire sa maison positive Un constat La maison positive est une maison qui produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme. Au départ les concepts de maison passive et maison bioclimatique sont nés pour évoquer des habitations à très basse consommation puis l’appellation et l’idée de la maison positive ou maison à énergie zéro s’est imposée. Il s’agit de créer un lieu autonome en énergie sur une année. Le concept de la maison positive est né de plusieurs constats : - le prix de l’énergie est en constante hausse depuis des années. La hausse du prix du fuel et du gaz, énergies fossiles qui disparaitront à terme, est inévitable. En conséquence, le tarif de l’électricité augmente face à une demande croissante. - la consommation d’énergie génère différents types de pollution. Les plus connus sont le gaz carbonique (CO2) et les gaz à effets de serre (GES) qui doivent impérativement être réduits sous peine de mettre en danger notre planète et l’avenir des générations futures. - il existe énormément de gâchis qui sont sources de pollution, d’inconfort et de dépenses inutiles. Une maison construite avant 1975 consomme en moyenne 375 kWh/m2 et par an. La même construite après 2000 avec les nouvelles normes n’utilise que 100 kWh/m2 ! L’objectif fixé par le Grenelle de l’environnement est de passer sous la barre des 50 kWh/m2/an. Si l’objectif peut sembler ambitieux, voire impossible, de nombreux exemples montrent que cela est tout à fait possible. Qu’il s’agisse de maisons individuelles, d’immeubles ou de bâtiments publics les réalisations deviennent chaque jour plus nombreuses et démontrent les possibilités que les nouvelles techniques et les connaissances (nouvelles mais aussi anciennes) peuvent permettre. Une méthode Réaliser une maison positive n’est pas plus compliqué qu’une maison classique… ce qui ne veut évidemment pas dire que cela est simple. Comme pour toute réalisation, vos choix dépendent de plusieurs facteurs. Le premier est le fait que vous construisiez ou rénoviez une habitation existante. Comme pour toute construction, le premier pas est de trouver un terrain et de réfléchir au positionnement de votre futur logement. La surface, la hauteur, l’exposition mais aussi vos goûts pour tels matériaux ou techniques, ainsi que votre budget bien entendu déterminent certains choix. Votre réalisation est soumise aux mêmes règles d’urbanisme que les autres et la région où vous bâtissez impose certains matériaux.
Les éléments à prendre en compte sont nombreux mais c’est surtout une vue d’ensemble que vous devez adopter pour réaliser ce projet. Il ne s’agit pas de juxtaposer des techniques mais de les intégrer dès le départ. - Une maison compacte : plus une maison sera compacte moins elle présentera de déperditions énergétiques la surface exposée étant réduite. - Une maison bien orientée : en profitant de l’ensoleillement, il est possible, l’hiver, d’emmagasiner la chaleur du soleil pour la restituer la nuit et l’été, de limiter le rayonnement pour maintenir la maison au frais. Les surfaces vitrées doivent être aussi orientées de manière à limiter les pertes avec une majorité d’ouverture côté sud. - Une maison bien agencée : les pièces à vivre ou ayant besoin de chauffage (salon, salle de bains,…) doivent être placées au sud. Les chambres nécessitent moins de chauffage et donc occupent la partie nord. - Une maison bien isolée : une maison positive est avant tout une maison où l’isolation permet de réduire au maximum l’apport énergétique nécessaire au chauffage. Dans le cas d’une rénovation, il n’est pas aisé de jouer sur ces éléments, mais en augmentant l’isolation ou en changeant la nature des pièces (chambres, salon, …) le gain peut être appréciable. Une fois l’habitat réalisé, il reste toute la partie équipement. - Le chauffage : Les systèmes performants (poêle à bois ou à granulés, pompe à chaleur air/air ou air/eau,…) permettent des économies importantes et une réduction des émissions de GES et CO2. Une pompe à chaleur de coefficient de performance 4 consomme 4 fois moins d’électricité qu’un radiateur électrique « simple ». Il existe aussi les radiateur a infrarouge lointain qui consomme 8 fois moins que le radiateur électrique ( exemple 0,30 € / jour pour 30 M3 ) - La ventilation : La ventilation représente jusqu’à 20 % de la consommation de chauffage de la maison ! En installant une ventilation double flux, l’économie sur le chauffage est de 15 %, sans compter le confort supplémentaire apporté (traitement de l’air par exemple). - L’électricité : Une lampe basse consommation consomme 4 à 5 fois moins qu’une lampe à filament, un appareil de classe énergétique A trois fois moins qu’un de classe C, une multiprise coupe-veille empêche la consommation des veilles des appareils électriques qui représentent entre 50 et 125 wh par foyer,… Sans oublié les réducteur de Cos Phi et d'Harmoniques (Attention il faut trouver les professionnels sérieux ) - La production d’électricité : pour être « positive », votre maison doit produire de l’électricité. Les panneaux solaires photovoltaïques et les micro-éoliennes bénéficient d’une meilleure intégration et ont réalisé de nombreux progrès avec des performances en hausse constante. De plus le prix de rachat par l’opérateur historique permet de rentabiliser rapidement l’investissement. - L’eau : un chauffe-eau solaire est une évidence dans une maison positive. Mais la gestion de l’eau doit aller au-delà. En installant un récupérateur d’eau de pluie,des disjoncteur d'eau, vous pouvez faire des économies et préserver une ressource primordiale.Pensez aussi à la qualité de l'eau . L'eau revitalisée par exemple vous apporte la qualité et l'économie - L’extérieur : Avec des systèmes d’éclairage solaire, vous pouvez profiter de votre jardin avec un impact écologique quasi-nul. La maison positive est une maison économique et écologique mais c’est aussi une maison confortable. Un chauffage efficace c’est la bonne température tout le temps, une ventilation filtrante permet une hygiène de l’intérieur de l‘habitation, source fréquente de pollution, un récupérateur d’eau permet de disposer d’un jardin fleuri tout l’été, produire son électricité, c’est s’affranchir d’éventuelles coupures de réseau, …

dimanche 11 novembre 2012


Des scientifiques français ont prouvé que ce dispositif est aussi efficace que le café pour éviter la somnolence, qui est la première cause de mortalité sur les autoroutes. Fixée à l'avant d'une voiture, une lampe à LED émettant continuellement une lumière bleue est aussi efficace que du café pour raviver la vigilance du conducteur. Alors que la somnolence au volant est la première cause de mortalité sur les autoroutes, cette découverte d'une équipe de chercheurs du CNRS pourrait conduire au développement «d'un système électronique antisomnolence embarqué» susceptible de sauver des vies, espèrent-ils.
De nuit, la vigilance, les réflexes et la perception visuelle des conducteurs sont diminués. Un phénomène aggravé par le manque de sommeil. «La lumière agit sur les horloges biologiques en inhibant la sécrétion de mélatonine, une hormone qui crée des conditions favorables à l'endormissement, explique Jacques Taillard, chercheur à l'université de Bordeaux. On sait depuis une dizaine d'années que la lumière bleue est plus efficace que la blanche pour augmenter les performances nocturnes.» Franchissements de lignes blanches Pour étudier son effet dans la situation spécifique de la conduite, les scientifiques ont demandé à 48 volontaires masculins, en bonne santé, âgés de 33,2 ans en moyenne, de conduire 400 km sur autoroute. L'expérience s'est déroulée entre 1 heure et 5 heures du matin. Chaque conducteur a fait la route trois fois, à une semaine d'intervalle: d'abord en prenant deux tasses contenant 200 mg de caféine, puis deux tasses de décaféiné. Lors du troisième trajet, l'automobiliste était exposé à la lumière bleue. Les scientifiques ont ensuite mesuré le nombre de franchissements inappropriés de lignes latérales - un signe de somnolence. Résultat: 15 franchissements avec lumière bleue, 13 avec café et 26 avec placebo. Éblouis par la lampe LED, 17 % des volontaires n'ont pas pu réaliser le test. «Pour les autres, la lumière bleue est aussi efficace que le café pour améliorer la conduite automobile nocturne, mais elle est diffusée en continu et plus facilement accessible car on n'a pas à s'arrêter sur une aire d'autoroute pour bénéficier de ses effets», relève Jacques Taillard, qui doit encore reproduire l'expérience avec des femmes et des personnes âgées. Ces travaux ont été publiés le 19 octobre dans la revue Plos One . En attendant, il est conseillé d'éviter un manque de sommeil dans la semaine qui précède le départ et de faire une sieste de 15 minutes dès que les premiers signes de somnolence (paupières lourdes, bâillements, picotements dans les yeux, etc.) apparaissent. souce "lefigaro"

vendredi 9 novembre 2012

Traitement des fuel , GNR et Gaz de Ville


Traitement des fuel , GNR et Gaz de Ville Bénéfices des effets magnétiques sur carburants et combustibles Les bénéfices sur les moteurs des véhicules : Diminue les rejets de gaz nocifs HC et CO à plus de 80% et les NOx à plus de 20% Réduit la consommation du carburant de 6% à 20% (essence, diesel, GPL, fioul) Améliore les performances générales et la souplesse du moteur en augmentant sa puissance et son couple Réduit l'opacité (fumée noire) jusqu'à 85% Dissout graduellement les dépôts de calamine sur les injecteurs, les soupapes, les chambres de combustion, les bougies... Evite les dépôts dans les circuits d'eau de refroidissements Prolonge la durée de vie des moteurs Allège la maintenance des véhicules Contribue au respect des normes anti-pollutions Les bénéfices sur les chaudières : Diminue les rejets de gaz nocifs HC et CO à plus de 80% et les NOx à plus de 20% Réduit la consommation du combustible de 12% en moyenne (gaz naturel, fioul domestique, fioul lourd, butane...) Améliore les performances générales et la régularité de la chaudière Diminue et prévient de l'accumulation de carbone dans le brûleur, de suies dans le conduit Prolonge la durée de vie de la chaudière Diminue les coûts d'entretien Aide à respecter les normes anti-pollution Les effets bénéfiques sur l'environnement : Diminue les rejets de gaz à effet de serre Diminue considérablement les imbrûlés et autres polluants toxiques Contribue à la préservation de l'environnement et aux économies d'énergie Action des effets magnétiques sur les carburants et combustibles Dans notre quotidien, les applications utilisant le magnétisme sont omniprésentes. Par exemple, une bobine magnétique commande le champ du canon à électrons dans le tube cathodique de notre télévision. Le magnétisme est la source principale de commande de la position des électrons. Nous employons fréquemment le terme "électromagnétisme" car le champ magnétique est généré par le courant électrique. Mais les effets qu'a un champ magnétique d'un aimant par rapport à un champ magnétique électrique sont similaires. Qu'est-ce qui caractérise un électron ? Sa masse Sa charge Sa rotation : c'est-à-dire sa capacité d'emmagasiner de l'énergie en lui-même comme une roue d'air. Son magnétisme : si des électrons sont alimentés d'un montant précis d'énergie magnétique, la rotation des électrons absorbera cette énergie et se positionneront en ligne. Qu'est-ce qu'un hydrocarbure ? Les hydrocarbures sont les combustibles tels que l'essence, le diesel, le fioul, le gaz naturel, le propane, le mazout,... utilisés comme source d'énergie pour bien des applications que nous connaissons tous. Le plus simple des hydrocarbures, le méthane (CH4), est le constituant principal du gaz naturel (à 90%) et une source importante d'hydrogène. Cette molécule est composée d'un atome de carbone et de quatre atomes d'hydrogène et sa charge électrique est neutre. Lors de la combustion, d'un point de vue énergétique, la plus grande partie de l'énergie libérable provient de l'oxydation de l'hydrogène. Pourquoi les hydrocarbures prennent une charge magnétique ? Nous allons voir dans un premier temps comment l'hydrogène, constituant très énergétique d'un hydrocarbure, réagi par rapport aux champs magnétiques et le rendement d'énergie accru s'y accompagnant. L'hydrogène est l'élément le plus léger et le plus fondamental que n'ait jamais connu l'homme. Sa structure simple est constituée de un proton et un électron seulement. Il est le premier élément dans la table des éléments périodiques, avec le numéro atomique 1. Puisqu'il possède seulement un électron, on dit qu'il a la "valence" positive 1. Bien qu'il soit le plus simple des éléments, il peut se présenter sous deux formes isométriques distinctes, les formes PARA et ORTHO, caractérisées par des rotations nucléaires opposés. Par exemple, à 20° C (température ambiante) 75% d'hydrogène est sous la forme para. Il faut abaisser sa température à -235°C (hydrogène liquide) pour qu'à 99% il devienne ortho, c-à-d un état plus volatil. Sur les molécules para, les rotations des protons sont anti-parallèles, alors que dans les molécules ortho les rotations sont parallèles (voir schéma ci contre). L'orientation des rotations a un effet prononcé sur le comportement de la molécule. En effet, l'ortho-hydrogène est plus instable et plus réactif que sa contrepartie para-hydrogène. Dans les années 1950, un scientifique de l'aérospatial US, Simon Ruskin, s'est vu alloué le brevet n°3.228.868, rapportant les moyens par lesquels le carburant hydrogène des missiles peut être converti du para-hydrogène stable en ortho-hydrogène plus volatil, plus instable, plus inflammable et réactif par l'application d'un champ magnétique. Notons que sous l'U.S.C. 35, section 101 aux Etats-Unis, tout brevet d'utilité doit être scientifiquement prouvé, fonctionnel et correcte avant établissement. Le champ magnétique peut changer l'orientation orbitale de l'électron relativement à la rotation du noyau. Sous l'état normal "Para", la molécule a une rotation d'électron dans la direction opposée du noyau. Une fois affecté par un champ magnétique, l'électron prend l'énergie et commence à tourner dans la même direction que le noyau. Puis, selon le champ, le noyau et l'électron orbital S'ALIGNERONT vers la gauche ou la droite. Ceci se produit au niveau MACRO ou moléculaire qui s'appelle la polarisation et également au niveau MICRO ou quanta. Ce ne sont pas des théories, mais des lois physiques de base. C'est une question d'énergie cinétique ayant pour résultat le comportement désiré commandé. Par conséquent, il ne devrait pas être trop étonnant que les hydrocarbures soient aussi affectés sous l'application d'un champ magnétique. Pour preuve, une liste complète des molécules hydrocarbures est présentée dans le manuel du CRC de la Chimie et de la Physique (CRC Handbook of Chemistry and Physics) dans la section des matériaux magnétiques. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le manuel du CRC, c'est un livre scientifique général de recherches qui est la "bible" du monde scientifique - Toute étude scientifique sérieuse ne peut pas procéder sans elle. C'est la pierre angulaire de n'importe quelle bibliothèque technique. Quand un hydrocarbure liquide rencontre un champ magnétique, les molécules ont un "effet de vrillage". Le vrillage, ou l'effet de rotation est optiquement surveillé par un faisceau de lumière traversant une colonne d'hydrocarbure. La quantité de rotation moléculaire magnétique est en fonction de la force du champ magnétique et de la densité du fluide. Deux physiciens français, Verdet et Kerr, ont étudié l'effet et ont rapporté les résultats dans les Tables de Constantes et Données Numériques dans une section intitulé Pouvoir Rotatoire Magnétique (Effet Magnéto-Optique de Kerr). Les valeurs numériques indiquées sont des rotations magnétiques des molécules d'hydrocarbure (dont les constituants des carburants et combustibles) qui sont classées relativement par rapport à la rotation (de dipôle) de la molécule d'eau. En résumé, lorsqu'on examine la table des puissances des rotations magnétiques, on peut clairement voir qu'il y a des effets magnétisme-hydrocarbures qui sont même plus grands que les effets sur l'eau. Pourquoi les hydrocarbures brûlent plus efficacement sous l'influence de champs magnétiques ? Les hydrocarbures sont structurés en "cage". Ils ont tendance par défaut à être dans un état stable et se lient entre eux pour former des grands groupes de faisceaux ou associations. L'oxydation (ou la combustion) des atomes de carbones situés aux centres des molécules pendant le processus de combustion est gênée par les atomes d'hydrogènes qui l'entourent. De plus, l'accès de l'oxygène à l'intérieur de ces groupes de molécules est rendu difficile. Reprenons l'exemple du méthane, l'hydrocarbure le plus simple et constituant essentiel du gaz naturel. Dans la combustion du gaz méthane CH4 avec l'oxygène O2 de l'air, le produit final de la réaction chimique est le gaz dioxyde de carbone CO2 et de la vapeur d'eau H2O (l'équation réelle est : CH4 + 202 = CO2 + 2H2O). Les schémas ci-dessous montrent l'effet d'une molécule de méthane avec et sans stimulation d'un champ magnétique. Modifier les propriétés de rotation de la couche externe de la molécule de méthane augmente la réactivité du combustible. Un champ d'ionisation suffisamment puissant peut transformer de manière substantielle l'atome d'hydrocarbure, en le faisant passer de son état "Para"-Hydrogène à un état "Ortho"-Hydrogène plus énergétique, plus volatile et qui attire donc plus d'oxygène. L'état de rotation le plus énergétique de la molécule d'hydrogène est caractérisé par un haut potentiel électrique (réactivité) qui attire les atomes d'oxygène supplémentaires. Ainsi une amélioration de l'oxydation accroît l'efficacité de la combustion. Voyons maintenant quand est-il exactement de l'efficacité d'un flux magnétique sur précisément les combustibles et les carburants. Grossièrement, pour brûler entièrement 1 litre de carburant, on a besoin d'environ 15 litres d'air. En théorie, les gaz issus de la combustion devraient donc contenir : du dioxyde de carbone CO2, de l'eau H2O en vapeur et de l'azote N2 qui provient de l'air et ne participant pas à la combustion. Mais nous savons tous qu'en réalité, les gaz rejetés contiennent en plus des polluants toxiques comme les CO, HC, et les NOx. CO = molécule de monoxyde de carbone HC = molécule d'hydrocarbure non brûlé appelé aussi "hydrocarboné" NOx = molécules d'oxydes d'azotes Ceci est provoqué par un processus de combustion incomplet. Une partie des émissions polluantes rejetées se déposent sur les parois internes du moteur ou des brûleurs, dans les échappements ou les conduits, sous forme de suie ou calamine (= résidus de carbone noir). Cela démontre que lors de la combustion (dans un moteur ou un brûleur), une partie des atomes de carbone ne sont pas complètements oxydés et forment des molécules CO et HC. Avec plus de précision, cela s'explique globalement par le fait que l'oxygène de l'air, avec sa valence moins 2 (manque d'électrons) est négatif, alors que les combustibles présentent des structures moléculaires neutres. En effet, l'atome de carbone, de part ses caractéristiques peut aussi bien avoir une valence positive que négative (surplus ou insuffisance d'électrons dans sa périphérie). C'est pourquoi, les molécules qui ont les mêmes potentiels négatifs dans la chambre de combustion, se repoussent et provoquent la combustion incomplète. Le graphique ci-dessus reprend le diagramme stoechiométrique du manuel "Mark's Standard Handbook for Mechanical Engineers" de Baumeister montrant le rapport entre les rejets émis de gaz polluants et l'augmentation de l'efficacité de combustion. Note : Les appareils Magnetizer permettent de diminuer encore plus les CO par rapport à ce que montre le graphique. Cela est dû à une efficacité de combustion supérieure à 96,6% permettant ainsi des économies supplémentaires. Les divers essais faits par les agences d'analyses reconnues sur les rejets de gaz utilisant l'équipement Magnetizer prouvent l'efficacité de ces appareils. Il est évident que les gaz hydrocarbonés HC non brûlés puissent être considérés comme source de combustible, puisqu'ils peuvent être brûlés après. En outre le monoxyde de carbone CO émis dans les fumées après combustion peut être également encore brûlé. Le dictionnaire de la chimie condensé de Hawley's fait état que le CO est fortement inflammable et présente un potentiel explosif. Autre exemple, le monoxyde de carbone CO est brûlé dans le pot catalytique des véhicules. La soumission de l'hydrocarbure à un champ magnétique correctement focalisé (forces de Van Der Waals), entraîne une efficacité optimum de combustion. En fait, quand les rejets de gaz polluants diminuent, l'efficacité de combustion augmente. Les essais stoechiométriques indiquent une réduction moyenne en hydrocarbonés (carburant non brûlé HC) jusqu'à 92%, et en monoxyde de carbone CO jusqu'à 99.9%. Ce ratio d'efficacité réduction/combustion des gaz CO et HC se traduit concrètement dans le milieu automobile par une augmentation moyenne du kilométrage par plein et une économie de consommation de combustible pour les chaudières. Quand est-il de l'oxyde d'azote NOx ? Un des composants principaux des fumées photochimiques est l'oxyde nitrique ou pour être plus précis, les oxydes d'azotes ; l'oxygène selon la chaleur et la pression peut former des combinaisons différentes avec l'azote. L'oxyde nitrique est un gaz sans couleur produit par la combustion à hautes températures ; cependant, quand il rencontre de l'oxygène supplémentaire en présence de l'air et de la lumière du soleil il se convertit aisément en dioxyde d'azote (NO2). Le dioxyde d'azote est la brume brune rougeâtre que nous associons à un brouillard. La formule pour le dioxyde d'azote (NO2) est tout à fait semblable à la formule du dioxyde de carbone CO2, Mais la combustion de ce dernier est impossible, alors que le dioxyde d'azote peut brûler . Les règlements stricts de la CEE contre la pollution ont mis énormément de volonté pour réduire ces polluants mortels. Le dioxyde d'azote est très toxique puisque le seuil de volume mortel (TLV) est de 3 ppm (partie par million), alors que toujours classifié toxique le dioxyde de carbone n'a qu'un TLV de 5.000 ppm, et le TLV de l'oxyde de carbone CO est de 50 ppm. Il est inquiétant de savoir que le dioxyde d'azote est le composant principal du brouillard rougeâtre et qu'il est approximativement 16 fois plus toxique que l'oxyde de carbone. Nous pouvons aisément voir que la réduction du dioxyde d'azote dans notre atmosphère est d'une importance primordiale. Cependant lors de la combustion, les rejets de gaz oxyde d'azote reste difficile à maîtriser. Maintenant, il existe un moyen sain pour réduire les problèmes d'oxydes d'azote NOx. La solution est le dynamiseur MAGNETIZER. Comme démontré par les essais, le traitement magnétique des carburants a réduit la production de NOx de 20% et plus. Une des raisons principale est due à la basse réactivité du gaz d'azote. Si nous pouvons lier tout l'oxygène disponible avec l'hydrocarbure du carburant, plus aucun oxygène ne sera simplement là pour former les composés non désirés d'azote. Stoechiométriquement, il reste très peu d'oxygène pour produire les composés toxiques avec de l'azote. Il s'avère que le traitement magnétique est le moyen le plus simple pour réaliser cet exploit. ^haut de page^ Le Monopolaire meilleur que le bipolaire Le traitement magnétique du carburant représente une nouvelle technologie. Beaucoup de tentatives effectuées par de divers inventeurs et investigateurs scientifiques dans le monde entier ont été très loin d'être satisfait à l'emploi de la technique classique bipolaire. Les champs magnétiques, comme l'électricité, choisissent le chemin de moindre résistance ; et de cette manière, elle représente également le chemin du moindre effet. Tel est ce qui se passe avec les dispositifs bipolaires. La société Magnetizer Industrial Technologie Inc. (anciennement Magnetizer Group, Inc.) est fondateur de la technologie Monopolaire, ou en d'autres termes, de l'utilisation de la technique à pôle unique. L'application du champ Monopolaire augmente le champ de flux (densité de puissance) de 20 à 500 fois plus que la technologie bipolaire classique. C'est d'une importance capitale, puisqu'elle est exigée pour avoir la densité de flux nécessaire à une excitation de l'activité des électrons causant l'effet accru de l'oxydation. C'est pourquoi tous les systèmes antérieurs au dynamiseur Magnetizer n'ont pas pu montrer des résultats suffisants. L'arrivée plus récente des analyseurs de gaz de combustions, employé pour surveiller et respecter les normes anti-pollutions imposées par les gouvernements selon la science stoechiométrique, a considérablement facilité la mise en évidence des résultats de la recherche magnétique sur les combustibles et les carburants. OPTIMISATION et L’INFLUENCE du TRAITEMENT MAGNETIQUE des HYDROCARBURES et GAZ de Ville Réglage pour brûleur fioul ou gaz Après la pose d’un dispositif magnétique deux constatations peuvent être observées. Pour chacune d’elles des réglages différents devront être effectués. 1ère constatation : - augmentation de la température des gaz de combustion - augmentation de l’excès d’air (O2) - diminution du CO2 et par conséquent du rendement de combustion EXPLICATION : la chaudière est correctement réglée, le débit correspond à la puissance nominale. Les champs magnétiques agissent sur les tensions superficielles du combustible, celles-ci diminues, les molécules s’expansent et prélèvent plus de comburant (oxygène) induisant une combustion plus complète. Cette énergie supplémentaire est utilisée, ce qui engendre une augmentation de la température de la flamme (environ 5 à 6 % ) et une diminution des imbrûlés. La chaudière ne peut pas absorber cette augmentation de puissance et la combustion se développe avec un excès d’air. Cet excès puissance/air de combustion se retrouve dans la température des fumées. Le rendement étant directement lié à la température des gaz de combustion et au CO2, celui-ci risque de diminuer. REGLAGES : - diminuer progressivement l’arrivée d’air pour arriver à un O2 le plus bas possible (0,7/0,9 étant une valeur minimum) - pendant cette diminution vérifier la dérive éventuelle du CO, celui-ci ne doit en aucun cas être supérieur à 50 ppm (équivalent d’un indice d’opacité de +/- 0) - si cette opération n’a pas permis d’obtenir une température acceptable (160/180°) diminuer proportionnellement le débit de combustible et le débit d’air en respectant les consignes précédentes. NOTA : ce cas est le plus fréquent et les économies d’énergie peuvent être chiffrées selon les critères suivants : - augmentation du rendement de combustion - diminution du débit de combustible - augmentation du rendement d’exploitation - diminution de l’excès d’air, donc du volume des fumées (pollution) 2ème constatation : - la température des gaz de combustion chute (de 15 à 30°) - l’excès d’air diminue ou varie peu (O2) - le CO2 augmente ou varie peu le CO diminue EXPLICATION : la chaudière n’était pas réglée au maximum de sa puissance. Pour les mêmes raisons que précédemment la flamme se développe mieux dans le foyer, sa qualité émissive par rayonnement est plus importante et le flux de chaleur supplémentaire est absorbé par le fluide caloporteur. La plus grande disponibilité des molécules de combustible permet une combustion plus complète et plus homogène en utilisant l’oxygène disponible. REGLAGES : - réduire l’arrivée d’air - contrôler la dérive du CO - si la température des fumées est trop basse ( - de 140° ) on peut exceptionnellement augmenter les débits d’air et de combustible afin d’obtenir le meilleur CO2 possible, soit : 15% pour le fioul et 11,8% pour le gaz. REMARQUE : avantage supplémentaire : les effets du traitement magnétique permettent de fonctionner à des températures plus basses qu’à l’habituel sans craindre le point de rosée. Les économies réalisées se mesurent essentiellement sur le gain en rendement de combustion et surtout d’exploitation (kWh/Kg ou m3) a bientôt ecofute.net

mardi 6 novembre 2012

L'émergence du solaire photovoltaïque à concentration


Doper le rendement d'une installation solaire photovoltaïque grâce à des systèmes optiques qui concentrent la lumière reçue par chaque cellule. il suffisait d'y penser ! Développé par un nombre grandissant d'industriels, le solaire photovoltaïque à concentration laisse entrevoir de belles marges de progression.
« C'est le rachat de l'Allemand Concentrix par SOITEC en 2008 et la création simultanée de Héliotrop, qui a catalysé l'engagement du CEA dans le solaire photovoltaïque à concentration (CPV) » affirme Mathieu Baudrit, ingénieur-chercheur du CEA-Liten à l'INES. En effet, les ingénieurs français ont commencé à sérieusement investir dans cette nouvelle filière. Elle consiste à améliorer la productivité d'une installation solaire photovoltaïque en augmentant la quantité d'énergie lumineuse reçue par surface de la cellule : des systèmes optiques concentrent la lumière et la cellule reçoit l'équivalent de plusieurs soleils. Bien entendu, cela n'empêche pas de profiter des progrès intrinsèques des cellules. C'est d'ailleurs leur niveau de performance atteint vers la fin des années 1990, en constante augmentation, qui ont poussé les industriels, comme Isofoton ou Amonix, à s'intéresser au CPV. D'autres firmes sont nées, SolFocus ou Abengoa Solar, pour développer toute une gamme d'installations de puissances variées. L'énergie lumineuse démultipliée Les systèmes les plus simples sont des panneaux photovoltaïques conventionnels auxquels sont accolés des miroirs plans. Ils concentrent de 2 à 10 fois la lumière solaire, fonctionnent avec des cellules « classiques » et conviennent à des installations de faible puissance. Les centrales plus importantes – certaines atteignent 150 MW – utilisent des dispositifs optiques sophistiqués, comme des miroirs cylindro-paraboliques, des lentilles de Fresnel ou de grandes paraboles, qui concentrent jusqu'à plusieurs centaines de fois la lumière. Pour être constamment orientées vers le soleil, ces optiques sont installées sur des structures mobiles guidées par des appareils qui détectent l'astre et suivent sa course : les trackers. L'ensemble est complexe et coûteux, mais assure en retour un éclairement quasi constant des cellules en journée, donc une production électrique soutenue, contrairement aux installations fixes qui présentent un étroit pic de production lorsque le soleil passe à la perpendiculaire du capteur. Les cellules à l'épreuve de plusieurs soleils Tous les problèmes ne sont pas résolus pour autant. Par exemple, les cellules supportent mal les hautes températures qui affectent leur rendement et leur durée de vie. C'est aujourd'hui un axe majeur de R&D. De même, la fiabilité des installations et l'intégration des différents éléments font l'objet de recherches actives. C'est sur ce dernier aspect que le CEA base sa stratégie : « Les industriels spécialistes des cellules, des optiques ou du tracking font très bien leur métier. Nous venons en soutien en leur proposant ce qui fait notre force : l'accès simultané à toutes les disciplines, qui nous donne une vue d'ensemble du système » explique Mathieu Baudrit. Une vision loin d'être anodine : il n'est pas rare en effet d'augmenter le rendement global d'une technologie de plus de 10% en améliorant l'intégra-ion de ses éléments ! Des innovations testées en conditions d'exploitation Outre l'optimisation des centrales, le CEA travaille sur leur durée de vie en conditions d'exploitation, un aspect hors de la portée des partenaires industriels. L'INES met alors à profit ses enceintes de vieillissement accéléré ainsi que le site de tests en extérieur à Cadarache. Chaque projet se déroule peu ou prou selon le même scénario. Un dispositif « témoin », représentant l'état de l'art, est d'abord installé. Puis, à chaque étape du développement, un autre dispositif, intégrant la nouveauté développée entre le partenaire industriel et le CEA, est implanté sur le même site. Et ce jusqu'à la fin. Cela permet à tout moment une comparaison réelle en termes de rendement et de production d'électricité. Aujourd'hui, le « record » de rendement de modules CPV est de 33,9 %, contre 20 % au mieux pour le photovoltaïque conventionnel. Jusqu'où pourra-t-on aller ? « On devrait atteindre 36 % avec les cellules actuelles. Mais une nouvelle génération de cellules arrive, et devrait assurer encore dix ans de progression jusqu'à 40 voire 50 % de rendement au niveau des modules » estime le chercheur. Quelles cellules pour le photovoltaïque de demain ? Elle est le cœur du système photovoltaïque, là où la lumière se transforme en courant électrique. La cellule est composée de la jonction de deux couches de matériau semi-conducteur, l'une riche en électrons, dite N (négative) et l'autre pauvre, dite P (positive). Cette jonction crée un champ électrique où peut naître un courant si de l'énergie lumineuse arrive. Les meilleures cellules commercialisées aujourd'hui ont un rendement de 22 % (le maximum théorique étant de 30 %). Toutes, ou presque, sont en silicium, sous forme monocristalline pour les meilleures – et les plus chères à produire. Comment aller au-delà ? Tout d'abord en multipliant les jonctions dans une même cellule. On trouve sur le marché des cellules à triple jonction d'un rendement de plus de 43 % (maximum théorique de 49 %) ; ce sont elles qui sont utilisées pour le photovoltaïque à concentration.
La prochaine génération, imminente, aura 4 jonctions mais les laboratoires étudient déjà des versions à cinq ou six (maximum théorique 65 %)1. Pour ces nouvelles architectures, le silicium laisse peu à peu la place à de nouveaux matériaux, dits III-V car ils sont composés d'éléments des colonnes III et V du tableau de Mendeleïev. D'autres voies, du domaine de la recherche fondamentale, sont explorées : utilisation de nanomatériaux pour des empilements de couches très minces, travail sur la géométrie de surface de la cellule afin de capter plus de lumière, etc.

dimanche 4 novembre 2012

Pourquoi est il important d'avoir une excellente Prise de terre ?


Pourquoi est il important d'avoir une excellente Prise de terre ? Pour l'examen de conformité avant mise en service, il faut vérifier que l'installation électrique satisfait bien aux prescriptions générales imposées par le RGIE art.270 (Règlement Général sur les Installations Electriques). L’examen de conformité doit être effectué non seulement en cas de nouvelles installations mais aussi en cas de modifications ou d'extensions importantes d'installations existante Périodicité de vérification: Tous les 25 ans pour les installations domestiques ; Tous les 13 mois pour les installations foraines ; Tous les 5 ans pour les autres installations Nos électrodes de terre sont en acier cuivré, nous déposons une épaisse couche de cuivre à 99% par un procédé électrolytique de 250 microns Minimum. L'acier et le cuivre sont moléculairement intimement lié , combinant une grande rigidité mécanique et améliore considérablement la conductivité 3,5 fois plus que les piquets galvanisé pour info Conductivité électrique de la Galvanisation 16,6×106 S·m-1 Conductivité électrique de la déposition du cuivre 59,6×106 S·m-1
Le piquet de terre bio - dynamique a fait l'objet du concours d'experts géobiologues reconnus pour la mise au point. Ce blindage magnétique, présentant une susceptibilité magnétique élevée.( c'est la faculté d'un matériau à s'aimanter sous l'action d'une excitation magnétique) Aujourd'hui il est courant de fixer un câble de terre 25 mm2 sur un piquet en acier galvanisé . Cette réalisation est à éviter. En effet le cuivre est un matériau électropositif à l'inverse de l'acier galvanisé qui lui est un matériau électronégatif. Lorsque ces deux métaux sont en contact dans la terre, le métal le plus électronégatif se corrode (effet de pile). Le piquet de terre bio-dynamique, est équipé d'un blindage magnétique qui évite ces effets

jeudi 1 novembre 2012

Ecofuté ????


Qui sommes nous ? Nous sommes une équipe de 8 ingénieurs Chasseurs de GASPIS avec des technologies économiques et écologiques dans de nombreux domaines. Ecofute.net propose et étudie avec vous les solutions les plus adaptées à votre programme d’économie d’énergie et vous assiste dans l’effort environnemental. Notre Politique Achetez Français ou CEE , hormis un bilan carbone incomparablement favorable pose d'autres interrogations. La mise en œuvre de recherche d'un nouveau produit coute plus cher. La cause n'est pas le coup salarial comme certains souhaitent nous le faire croire. Mais pour une étude nous faisons un cahier des charges a charge et à décharge . Cela coûte de l'argent . Mais le résultat inestimable est d'obtenir des produits d’excellente qualité . Apres avoir fait l'analyse de la valeur vient le choix de la rentabilité : Le moins-disant en privilégiant le prix ( ce choix est générateur de S.A.V. ) Le mieux-disant en privilégiant la qualité, la satisfaction de nos clients. Nous avons choisi le mieux-disant en achetant et produisant sur la france ou l’Europe pour la sécurité de nos clients. Nous sommes réalistes ; nous ne pouvons plus nous passer de certains produits hors zone CE, mais nous privilégions au maximum notre savoir faire, nos cahiers des charges et nos réalisations française et CEE. Pour finir nous sommes désolé de ne pas pouvoir nous battre contre les bas prix . Mais nous ne pouvons , non plus comparer une Traban ( véhicule de l'ex Allemagne de l'est) et une Mercedes A bientôt sur notre site " ecofute.net "

samedi 27 octobre 2012


L’opération de dépollution / décalaminage du moteur ne prend seulement 60 minutes. Connecter le tuyau du générateur sur l’admission d’air   Gain garantie: Sur tous moteurs essence, diesel, GNR jusqu'à 10% de couple perdu jusqu’à 12 % de puissance perdue Gain de 70 % de depollution sur la valeur limite autorisée ( PPM ) Gain de de dépollution CO2 de 70 % sur la valeur limite autorisée ( CO2 gr ) Plus de problème avec le contrôle technique au sujet de la pollution Résultats Retrouver la jeunesse de votre véhicule en puissance et couple Retrouver la consommation d'origine constructeur Aucun produit chimique Nettoie l'admission d'air, la chambre de combustion le siège des soupapes, les dépôts d'imbrulés dans toute la chaine d’échappement n’endommage pas les pots catalytiques,Ni les sondes Lamda et Nox, Nettoie le circuit de la vanne EGR. ne produit pas d’émissions de produits carbonés (ni monoxyde de carbone et hydrocarbures, principaux polluants des villes, ni de CO2)

samedi 20 octobre 2012

Label Made in France: l’envers du décors


Label "Made in France" de julia Ce label provoque, on l’a vu, un engouement bien certain (l’emission « Envoyé spécial » en a fait sa une, faveurs de part de Bercy et du ministère de l’industrie, couvertures de magasines etc..). Il faut dire que l’objectif est ambitieux: augmenter de 25% la production industrielle française en 2015!
En apparence très crédible, ce label connait néanmoins certaines failles: Le code des douanes communautaire (auquel sont soumis une grande majorité des entreprises), considère qu’un produit est « made in France » dès lors que 45 % de sa valeur ajoutée y est produite. Pour le textile par exemple, il suffit que « la dernière transformation du produit » ait eu lieu sur le territoire français pour qu’il bénéficie du label. Mais quelle transformation? De plus, les douanes (qui contrôlent les produits à leur entrée sur le territoire) et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui contrôle elle dans les rayons des magasins, n’utilisent pas les mêmes critères pour vérifier l’origine d’un produit. Les douanes se basent sur la fiscalité alors que la DGCCRF regarde plutôt l’information sur l’origine du produit. Pas très clair tout ça… On est donc en droit de se demander si ce brouillard ne laisse pas le champ libre aux imposteurs! Est ce que cela veut par exemple dire qu’un fabricant étranger faisant emballer ses produits en france peut obtenir le label « Made in France »? Cependant, le bruit court que ce futur label devrait comporter différents degrés, sous forme d’étoiles… Le but est d’attribuer à chaque produit revendiquant le label un nombre d’étoiles définissant la part produite en France. Un produit dont on estimera, par exemple, que 50 % de la valeur ajoutée sont dus au savoir-faire français n’obtiendra que deux étoiles alors qu’un autre, dont la valeur ajoutée française sera de 80 %, se verra attribuer trois étoiles. Dernière question: Qui attribuera ces étoiles? et comment définir la part de la valeur ajouté dûe au savoir-faire français? Vaste programme…. A Bientôt Ecofute.net

jeudi 18 octobre 2012

Dans un proche avenir quel carburant choisir ? Comment améliorer mon véhicule actuel


Dans un proche avenir quel carburant choisir ? Comment améliorer mon véhicule actuel
Parlons pouvoir calorifique
C'est la quantité de Kw que l'on produit avec 1 Kg de carburant Essence 12,9 Gasoil 12,8 GPL 13,8 Éthanol 8,2 ce qui explique la surconsommation par rapport à l'essence ( de 16 à 30 % environ) HHO 39 ( OUI vous avez bien Lu ) cela veux dire que l’hydrogène pure est 3 fois plus efficace que l'essence et le gasoil .
Parlons rejet CO2 maintenant Essence 2,3 kg/L Gasoil 2,6 kg/L GPL 1,7 Kg/L Diester colza 0,6kg/L Hydrogène 0,6 kg/L
Conclusion : Nous faisons la promotion du HHO Car il a un pouvoir calorifique 3 fois supérieur et une pollution en CO2 5fois inférieur aux carburants traditionnels. Il nous faut peu de HHO pour améliorer le pouvoir calorifique et tendre vers une combustion complète gage d'économie et de réduction très importante de pollution Pour info : 1 litre d'eau produit 1830 litres de dihydrogène

lundi 15 octobre 2012

Les huiles et les incidents moteurs :


Les huiles et les incidents moteurs : Les boues noires : Les dépôts noirs et souvent gélatineux apparaissent aussi bien sur les moteurs anciens que sur les moteurs neufs, Sont parfois liés à l’utilisation d’essence sans plomb dont la composition diffère sensiblement de celle des anciennes essences plombées. Avec des huiles de qualités supérieure, le risque de dépôt des boues noires est très réduit. Ce sera des huiles de qualité qui portent les indications CCMC G3/PD1 ou G2/PD1. Il existe maintenant suffisamment de test qui analyse les boues noires ( black sludge) pour éviter dorénavant leur formation. Elles sont constituées par des composés azotés (N2) qui se forment par une sorte « d’oxydation à l’azote ». Les additifs des huiles modernes les plus performantes s’opposent à ce processus. Les dopants anti-usure restent indispensables et ils participent à cette inhibition contre les boues noires. Les boues noires peuvent se former sous forme visqueuse, même dans les canalisations d’huile qui alimentent le train de distribution. Le débit d’huile en est alors diminué avec toutes les conséquences négatives que l’on connaît sur la température de l’huile et sur la viscosité de celle-ci. Dans le cas où l’on trouve des boues noires après dégradations du train de distribution, il est conseillé de démonter le couvercle du carter et d’examiner le filtre à huile et la pompe à huile. La ventilation du carter : le circuit de ré-aspiration des gaz et vapeur du carter fonctionne bien tant que les fuites de gaz brûlés ver le carter sont faibles. Dès que le moteur est un peu usé et que les fuites au carter augmentent, il se produit avec les huiles de qualité inférieure des dépôts gras ressemblant à de la mayonnaise, qui conduisent parfois à une surpression dans le carter avec des fuites d’huile. ON obtient une aspiration d’huile à la pipe d’admission, ce qui conduit souvent à des dépôts qui perturbent les flux des colonnes gazeuses à tous les régimes en augmentant la consommation de carburant et d’huile et en diminuant la puissance du moteur. Actuellement, les informations aux boîtiers de gestion parviennent erronées et le moteur mal informé peut choisir le mode dégradé en cas extrême. La calamine moteur : Elle ne doit pas être confondue avec les boues noires. C’est un dépôt gris et blanc facile à reconnaître. Le dépôt blanc, aussi appelé mayonnaise, est en fait une émulsion d’huile et d’eau. Elle se forme au cours des trajets courts par condensation d’eau sous le cache culbuteur et sous la ventilation du carter si elle existe. On a vu cette mayonnaise remplir tout l’espace libre sous le cache culbuteurs et ainsi obturer la circulation des gaz du carter. Le dépôt gris se forme surtout avec l’essence plombée sur les courts trajets. Les dépôts gras se forment surtout sur les soupapes des moteurs à arbre à cames en tête. EN devenant important il présentent le risque de faire des points chauds. Parfois il améliore l’étanchéité à la soupape d’échappement mais ils perturbent toujours la circulation des gaz. L’huile de grande qualité réduit au minimum les dépôts mais ne les supprime pas complètement. La vidange d’huile moteur : Les constructeurs sont unanimes pour faire remplacer l’huile moteur au moins une fois l’an. A contrario pour des effets publicitaires, dans le même temps ils proposent des vidanges espacées à 20 000 km (on parle maintenant de 30 000km) Donc attention à l’huile qui est utilisée se doit être obligatoirement CCMC G4/PD2 ou G5/PD2. Dans tous les cas, les utilisateurs ne se ressemblent en rien, certains ne roulent que sur des courts trajets en ville pour quelques milliers de kilomètres/ an, alors que d’autres dépassent les 100 000 Km à grande vitesse sur autoroutes. Donc la recherche d’informations sur l’utilisation et la qualité de l’huile sera toujours un apport indispensable pour une analyse d’accident de lubrification. La consommation d’huile : Après les contrôles possibles sur l’état et l’étanchéité du moteur, on rencontre parfois des consommations d’huile excessives. Les expériences démontrent que des huiles de mêmes spécifications provoquent parfois de grandes différences. Souvent c’est l’huile de base qui est en cause, mais parfois ce sont les agents de viscosité destinés à améliorer et à stabiliser l’huile de base qui font la différence. Nous rappèlerons que les annonces de consommation d’huile par l’utilisateur sont souvent sujet à caution. Elle devra faire l’objet d’une pesée correctement réalisée voire d’une mesure directement faite par l’expert sur une période donnée. Une trop faible consommation d’huile doit être analysé avec précaution, En effet il est normal que l’huile des tiges de soupape et des segments soit propulsée par l’échappement. Aussi faut il un peu de consommation d’huile pour un moteur qui présente un bon rendement. On a connu, par le passé des moteurs qui « produisaient de l’huile » c’est à dire dont le niveau montait légèrement à l’utilisation sans apport d’huile nouvelle. C’était souvent un apport d’un liquide autre que l’huile, le carburant, le liquide de refroidissement .... Alors une analyse de l’huile devient indispensable pour éviter tout incident et pour l’expert pour comprendre les causes. Ecofute.net

lundi 8 octobre 2012

La voiture et la pile à combustible


La pile à combustible est un moyen de créer un courant électrique par intermédiaire d'une oxydoréduction. Le fonctionnement d'une pile à combustible ne rejette pas de polluants, son seul produit étant l'eau. C'est ce principe que nous allons présenter. Principe de fonctionnement L'hydrogène s'associe au dioxygène et forme l'eau. Beaucoup d'énergie est formée lors de la réaction, qui est ensuite transformée en courant électrique pour que la voiture fonctionne. Le produit de la réaction est l’eau, qui n'est pas un polluant.
Le procédé par étape : - A L'anode a lieu une première réaction, les molécules de H2 se divisent en 2 ions H+ : H2 → 2 e- + 2 H+ C'est l'oxydation. Le réducteur H donne un oxydant H+ et libère son électron e. - Seuls les ions H+ passent dans l'électrolyte, tandis que les électrons passent dans le circuit électrique et permettent au moteur de fonctionner. - Dans la cathode a lieu une deuxième réaction, les ions H+, les électrons et les molécules de dioxygènes qui sont présentent dans l'air forment des molécules d'eau. Il y a une réduction : 02 + 4H+ + 4e- → 2 H2O Le réducteur H+ forme avec l'oxygène l'oxydant H2O. La pile à combustible crée donc une énergie propre, car elle n'émet pas de produit polluant. C'est une solution envisageable mais qui comporte quelques inconvénients. La Batterie
Principe de fonctionnement d'un accumulateur au lithium Dans toute batterie, quelque soit son type, l'électricité est stockée par une réaction électrochimique réversible. Cette réaction à lieu entre 2 éléments (matériaux variables) qui échangent des électrons. Un élément perd un ou plusieurs électrons, c'est le réducteur, tandis que l'autre en gagne, l'oxydant. Dans le cas de la voiture électrique, il est préférable d'opter pour des matériaux tels que le lithium qui a un fort potentiel électrochimique, donc qui peut stocker plus d'électricité qu'une batterie dite "normale" ( en plomb). Fonctionnement d'une batterie au lithium Voir schéma ci-dessus 1) Lorsqu'un accumulateur est débranché, il ne se passe rien. 2) Lorsqu'on branche l'accumulateur au circuit électrique, les ions Li+ passent dans l'électrolyte tandis que les électrons passent dans le circuit externe. Il y a courant électrique jusqu'à ce que l'accumulateur soit déchargé, donc qu'il n'y est plus de Lithium dans l'électrode négative. On recharge l'accumulateur en faisant le procédé inverse. La batterie est donc un procédé qui ne pollue pas, mais l'énergie est seulement stockée, l'énergie créée vient des centrales électriques ou nucléaires. Les conséquences liées à l'exploitation de l'électricité L'électricité est un moyen efficace pour contrer la flambée du prix du pétrole. C'est une ressource renouvelable. Mais, il reste tout de même des points négatifs à son utilisation. Conséquences et problèmes liés à l'utilisation de pile à combustible La pile à combustible nécessite du dihydrogène. Le dihydrogène est rarement présent dans l'environnement. Il existe 3 voies de formations à l'hydrogène : - par vaporeformage, qui a peut d'avenir car il produit beaucoup de CO2 et utilise une énergie fossile, - par électrolyse de l'eau, ce qui consiste à décomposer l'eau en H2 + O mais cette solution est chère, malgré 0 émission de pollution - par la biomasse, l'hydrogène est produit de la gazéification des végétaux, et le bilan final d'émission de gaz à effet de serre est nul. On peut donc trouver des points positifs, mais aussi des points négatifs à l'utilisation de piles à combustibles. Si l'on arrive à régler les questions de production d'hydrogène sans polluer, les obstacles posés par l'adaptation de la pile à combustible dans les voitures devrait être suffisamment surmonter. Conséquences et problèmes liés à l'utilisation de batterie L'utilisation de la batterie dans les voitures électriques comporte des inconvénients : - l'autonomie d'une batterie à lithium reste tout de même limitée en énergie (150 à 200 km) - Elle nécessite un temps de recharge important ( 2h à 4h ) - Malgré une pollution locale nulle, l'énergie stockée dans la batterie provient souvent de centrales électriques qui rejettent du CO2, même si le rejet est minime comparé à la combustion du pétrole. L'utilisation de batteries dans les voitures est une solution envisageable, mais ce projet nécessite encore des recherches pour augmenter l'autonomie de la batterie. On peut remarquer que l'électricité est une énergie qui mérite d'être exploitée dans l'automobile puisqu'elle n'émet pas de CO2 localement et que sont coût est inférieur au pétrole. C'est une solution renouvelable et peu-polluante, c'est l'une des meilleures solutions d'avenir. A bientôt ecofute.net

ÉCONOMIES D'ÉNERGIE MAISON BBC (BATIMENT BASSE CONSOMMATION)


ÉCONOMIES D'ÉNERGIE MAISON BBC (BATIMENT BASSE CONSOMMATION) Une maison BBC permettra de réduire par 5 les consommations d’énergie par rapport à la réglementation actuelle. Oui le système constructif Bloc Béton, le plus simple, le plus compétitif et le plus courant des systèmes de construction, vous permet de réaliser aujourd’hui votre maison BBC conforme à la réglementation 2012 voulue par le Grenelle de l’environnement.
DE LA RT 2005 À LA BBC 2012. Pour consommer moins de 50 KW/h/m2/an, une maison devra tout d'abord être très bien isolée. Elle devra disposer d'une inertie importante (lourde) afin d'assurer à la fois des économies de consommation l'hiver mais aussi garantir un confort d'été supprimant l'usage de la climatisation. Le troisième point qui sera tout particulièrement soigné sera la perméabilité à l'air qui nécessitera une mis en oeuvre de qualité. L'exemple de la maison citée ci après démontre que pour passer de la maison THPE (20% plus performante que la RT 2005) à une Maison BBC 5 fois plus performante que la RT 2005, le système constructif Bloc Béton restera le même. Seule la perméabilité à l'air devra être encore amélioré. Le système le plus compétitif du marché se révèle comme la référence de la maison de demain en alliant résistance mécanique hors pair, inertie lourde indispensable et usage d'isolants dernière génération, pour plus de performances et de simplicité. Bien entendu, les prestations relatives aux systèmes (hors bâti) tiendront compte dès 2012 de la volonté de multiplier l'usage des énergies renouvelables pour le chauffage, l'eau chaude sanitaire. Ces prestations seront d'autant moins onéreuses que l'enveloppe, le bâti, sera réalisé dès le départ en respectant les trois bases de l'efficacité : inertie lourde, très bonne isolation rapportée et maîtrise de la perméabilité à l'air. Il faut savoir à ce sujet qu'une fente de 1mm d'épaisseur sur 1m de long équivaut à la perte de 1 cm d'épaisseur d'isolant dans la pièce! C'est la raison pour laquelle la perméabilité à l'air sera dorénavent mesurée. MAISON BBC "BÂTIMENT BASSE CONSOMMATION"
Exemple de maison R+0,5 quelle que soit la zone climatique Type T6 Surface habitable 117.1 m² Nombre de niveau 1 Nombre SBD, WC 2 SDB et 2WC Surface de toiture 42 + 61 m² Surface plancher 67 + 20 m² Surface de porte 1.9 + 1.6 m² Hauteur 4.7 m Prestations relatives au bâti Murs extérieurs (ITI) : blocs béton creux 20cm + 10cm PSE Th32 (λ=0,032 W/(m K)) Toiture : 30cm laine minérale (λ=0,041 W/(m K)) de résistance thermique R=7 m²k/W Plancher haut : lourd (poutrelles et entrevous béton), avec un semi rupteur thermique (ψ=0,5 W/(m K)) des ponts thermiques (rupteur longitudinal sans coupure de la dalle de compression du plancher haut) Plancher intermédiaire : lourd (poutrelles et entrevous béton), avec un rupteur thermique (ψ=0,2 W/(m K)) Plancher bas sur vide sanitaire : poutrelles et entrevous isolant PSE (Up=0,22 W/(m²K)) et rupteur thermique (ψ=0,2 W/(m K)) Menuiseries : VIR 4/16 argon/4 en PVC avec Ujn=1,4 W/(m²K) toutes les baies sont équipées de volets battants Facteur solaire : hiver à 0,4 et été à 0,1 aucun masque prochain et lointain : angle = 0° Perméabilité à l’air de l’enveloppe : 0,6 m3/(hm²) de paroi (valeur minimale exigée pour l’obtention du label BBC) Prestations relatives aux systèmes (hors bâti) Pour atteindre l’objectif BBC, les deux simulations suivantes (pour deux configurations de chauffage : PAC1 et GAZ), pour toutes les zones climatiques, ont été réalisées : Simulation a (pac) Ventilation : ventilation simple flux : type HygroB entrées d’air et bouches d’extraction : certifiées classe de perméabilité du réseau de ventilation : classe A Chauffage : PAC avec coefficient de performance COP égal à 3 Eau chaude sanitaire : ECS solaire : 4 à 5m² de capteurs solaires, suivant la zone climatique, avec un ballon électrique de 300 litres en moyenne. l’appoint de l’eau chaude sera réalisé par la PAC. Simulation B (gaz) Ventilation : ventilation simple flux : type HygroB entrées d’air et bouches d’extraction : certifiées classe de perméabilité du réseau de ventilation : classe A Chauffage : Gaz (chaudière à condensation) Eau chaude sanitaire : ECS solaire : 4 à 5m² de capteurs solaires, suivant la zone climatique, avec un ballon électrique de 300 litres en moyenne. l’appoint de l’eau chaude sera réalisé par la chaudière à condensation. Les configurations simulées permettent d’obtenir une consommation d’énergie primaire Cep inférieure à la consommation maximale permise pour l’obtention du label BBC CepBBC, pour chaque zone climatique2. Ainsi, la maison (R+0,5) est une maison BBC, quelle que soit la zone climatique. MAISON BBC "BÂTIMENT BASSE CONSOMMATION"
Exemple de maison R+1 quelle que soit la zone climatique Type T5 Surface habitable 115.6m² Nombre de niveau 1 Nombre SDB, WC 1 SDB et 2WC Surface de toiture 59.4 m² Surface plancher 59.5 m² Surface de porte 3.58 m² Hauteur 5.2 m Prestations relatives au bâti Murs extérieurs (ITI) : blocs béton creux 20cm + 10cm PSE Th32 (λ=0,032 W/(m K)) Toiture : 30cm laine minérale (λ=0,041 W/(m K)) de résistance thermique R=7 m²k/W Plancher haut : lourd (poutrelles et entrevous béton), avec un semi-rupteur thermique (ψ=0,5 W/(m K)) des ponts thermiques (rupteur longitudinal sans coupure de la dalle de compression du plancher haut) Plancher intermédiaire : lourd (poutrelles et entrevous béton), avec un rupteur thermique (ψ=0,2 W/(m K)) Plancher bas sur vide sanitaire : poutrelles et entrevous isolant PSE (Up=0,22 W/(m²K)) et rupteur thermique (ψ=0,2 W/(m K)) Menuiseries : VIR 4/16 argon/4 en PVC avec Ujn=1,4 W/(m²K) toutes les baies sont équipées de volets battants Facteur solaire : hiver à 0,4 et été à 0,1 aucun masque prochain et lointain : angle = 0° Perméabilité à l’air de l’enveloppe : 0,6 m3/(hm²) de paroi (valeur minimale exigée pour l’obtention du label BBC) Prestations relatives aux systèmes (hors bâti) Pour atteindre l’objectif BBC, les deux simulations suivantes (pour deux configurations de chauffage : pompe à chaleur (PAC) et gaz), pour toutes les zones climatiques, ont été réalisées : Simulation a (pac) Ventilation : ventilation simple flux : type HygroB entrées d’air et bouches d’extraction : certifiées classe de perméabilité du réseau de ventilation : classe A Chauffage : PAC avec coefficient de performance COP égal à 3 Eau chaude sanitaire : ECS solaire : 4 à 5m² de capteurs solaires, suivant la zone climatique, avec un ballon électrique de 300 litres en moyenne. l’appoint de l’eau chaude sera réalisé par la PAC. Simulation B (gaz) Ventilation : ventilation simple flux : type HygroB entrées d’air et bouches d’extraction : certifiées classe de perméabilité du réseau de ventilation : classe A Chauffage : Gaz (chaudière à condensation) Eau chaude sanitaire : ECS solaire : 4 à 5m² de capteurs solaires, suivant la zone climatique, avec un ballon électrique de 300 litres en moyenne. l’appoint de l’eau chaude sera réalisé par la chaudière à condensation. Les configurations simulées permettent d’obtenir une consommation d’énergie primaire Cep inférieure à la consommation maximale permise pour l’obtention du label BBC CepBBC, pour chaque zone climatique1. Ainsi, la maison (R+1) est une maison BBC, quelle que soit la zone climatique. a bientot ecofute.net

samedi 6 octobre 2012

Décalamineur / dépollueur


Décalamineur / Dépollueur sans produit chimique
Grâce a l'hydrogène contenu dans l'eau tondeuse, moto, voiture, camion, BTP, Bateau, générateur électrique, compresseur , etc .... Puissance maxi 900 W 12 /24 Volts et 30 volts Maxi en continu Permet de traiter des moteurs de 10 cm3 à 20 Litres de cylindrée grace à son système électronique de réglable De la tondeuse au semi-remorque Se connecte sur une prise 220 V ou micro-groupe électrogène Alimentation stabilisée et régulée incorporée Toutes les vidanges sur robinets séparés Vidange séparée des divers éléments Remplissage facilité Réservoir de 3 litres avec anti-remous (autonomie 50 véhicules minimum ) Arrêt de Flamme de sécurité et séparateur HHO Compte à rebour électronique Roue de 110mm fiches sécurités ( electrolyte et acide acétique ) Mode d'emploi et mise en garde de sécurité Matériel fixe avec possibilité d'être itinérant Assistance technique 7/7 jours sur N° non sur-taxé Dimensions : L 77 cm Profondeur 42 cm Hauteur 76 cm Poids Net sans electrolyte et sans emballage environ 25 Kg Récupération jusqu'a 10% de couple et 12% de puissance L'opération dure 1 Heure sans produit chimique juste avec l'hydrogène de la nature Un décalaminage ordinaire oblige nos chers mécanos a déculasser et a faire de trés nombreuses opération. Le cout peut aller de 1000 € et plusieurs milliers d'€ et immobilise votre véhicule longtemps L'autre solution est de mettre des additifs chimiques qui detruisent les joints et peut efficace sur la calamine et la pollution
Possibilité de décalaminer 2 véhicules simultanément et plus suivant la cylindrée Vente Matériel sur devis à partir de 8000 € Si vous souhaitez louer (Locam) tel à notre représentant au : 06 04 40 38 02 A bientôt ecofute.net

dimanche 16 septembre 2012

Systéme miracle magnétique !!!


Systéme miracle magnétique !!! Basé sur la mécanique des fluides et appelé Un fluide électrorhéologique ou fluide ER Un fluide électrorhéologique (fluide ER) est une suspension de particules conductrices dispersées dans un fluide isolant. La taille des particules peut varier de quelques nanomètres à plusieurs micromètres, avec une fraction volumique (rapport entre le volume des particules et le volume total) généralement de l’ordre de 20% à 30%. Découvert la première fois par W. M. Winslow en 1947, ce fluide présente des propriétés très intéressantes d'un point de vue tant scientifique que technologique. En fonction du champ électrique appliqué, les propriétés rhéologiques (viscosité, contrainte seuil…) d’un fluide ER sont considérablement modifiées. Cela permet d’obtenir même une « solidification » du fluide. Ce phénomène peut s’expliquer d’une façon macroscopique par la formation des fibres parallèles au champ par les particules. Ces fibres génèrent une liaison entre électrodes et augmentent donc la viscosité de fluide. Le champ d’application de ce fluide est très prometteur car il existe plusieurs avantages. La réponse est rapide (quelques ms) et le phénomène est totalement réversible. Les fluides ER sont également considérés comme matériaux « intelligents » et consomment peu d’énergie. Plusieurs applications ont été proposées (embrayage automobile, amortisseur, contrôle actif de vibration, actionneur…). Pourtant, la contrainte seuil habituelle de quelques kPa du fluide ER n’est pas suffisante pour de vraies applications industrielles. Une autre difficulté est sa stabilité (sédimentation, stabilité thermique, agrégation des particules…). Le caractéristique rhéologique d’un fluide ER est présentée par un rhéogramme donnant la variation de la contrainte de cisaillement en fonction de la vitesse de cisaillement. Le modèle de Bingham est souvent utilisé pour décrire un fluide ER idéal. Récemment, l’équipe de Weijia Weng (Institut Nanoscience de Hongkong) a réussi à développer une nouvelle génération de fluide ER avec une contrainte seuil dépassant 100 kPa (20 fois plus élevée que la contrainte seuil habituellement observée). Le phénomène découvert par les chercheurs chinois est appelé ainsi « Effet ER géant ». Champ d'application potentiel Ce fluide possédant plusieurs avantages, de nombreuses applications ont été proposées. Sa capacité de changement "solide - liquide" fait penser à un embrayage automobile innovant. Une autre application possible du fluide électrorhéologique dans l'industrie de l'automobile est l'amortisseur. Les autres applications envisagées sont actionneur, micro canal, valve et diverses applications en robotique. Pourquoi dire que notre économiseur magnétique est différent des autres ? La raison est simple, contrairement aux autres qui se place autour de la durite, les aimants sont trop éloignés du carburant ce qui à pour conséquence un champ magnétique peu optimal avec des résultats insuffisants. Les différentes revues techniques sur le sujet démontrent que le champ magnétique dans lequel circule le carburant doit être le plus intense possible. Nos recherches nous ont permis de maximiser ce champ de trois façons : le carburant doit passer au contact direct des aimants en opposant les aimants ( Nord / Sud ) cela permet de doubler localement la valeur du champ en utilisant un circuit magnétique pour renforcer encore la valeur du champ. Nousconcrétisons le principe de fonctionnement en réunissant ces trois conditions. La nouveauté de ce concept nous a conduits à déposer une marque et un brevet internationnal. 100 % recyclable, "Made in France". A Bientôt Ecofute.net

vendredi 3 août 2012

scoop


Trouvé sur le net http://annuairechasseurdegaspi.jimdo.com/ enfin un annuaire fiable bien évidemment nous sommes inscrit dessus a bientôt ecofute.net

lundi 30 juillet 2012

assitance commerciale et technique ecofute.net


Du 6 Aout au 18 Aout Permanence commerciale et technique gratuite continue Seulement par email ou le GSM Les commandes sont assurées Cordialement ECOFUTE.NET