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vendredi 9 novembre 2012

Traitement des fuel , GNR et Gaz de Ville


Traitement des fuel , GNR et Gaz de Ville Bénéfices des effets magnétiques sur carburants et combustibles Les bénéfices sur les moteurs des véhicules : Diminue les rejets de gaz nocifs HC et CO à plus de 80% et les NOx à plus de 20% Réduit la consommation du carburant de 6% à 20% (essence, diesel, GPL, fioul) Améliore les performances générales et la souplesse du moteur en augmentant sa puissance et son couple Réduit l'opacité (fumée noire) jusqu'à 85% Dissout graduellement les dépôts de calamine sur les injecteurs, les soupapes, les chambres de combustion, les bougies... Evite les dépôts dans les circuits d'eau de refroidissements Prolonge la durée de vie des moteurs Allège la maintenance des véhicules Contribue au respect des normes anti-pollutions Les bénéfices sur les chaudières : Diminue les rejets de gaz nocifs HC et CO à plus de 80% et les NOx à plus de 20% Réduit la consommation du combustible de 12% en moyenne (gaz naturel, fioul domestique, fioul lourd, butane...) Améliore les performances générales et la régularité de la chaudière Diminue et prévient de l'accumulation de carbone dans le brûleur, de suies dans le conduit Prolonge la durée de vie de la chaudière Diminue les coûts d'entretien Aide à respecter les normes anti-pollution Les effets bénéfiques sur l'environnement : Diminue les rejets de gaz à effet de serre Diminue considérablement les imbrûlés et autres polluants toxiques Contribue à la préservation de l'environnement et aux économies d'énergie Action des effets magnétiques sur les carburants et combustibles Dans notre quotidien, les applications utilisant le magnétisme sont omniprésentes. Par exemple, une bobine magnétique commande le champ du canon à électrons dans le tube cathodique de notre télévision. Le magnétisme est la source principale de commande de la position des électrons. Nous employons fréquemment le terme "électromagnétisme" car le champ magnétique est généré par le courant électrique. Mais les effets qu'a un champ magnétique d'un aimant par rapport à un champ magnétique électrique sont similaires. Qu'est-ce qui caractérise un électron ? Sa masse Sa charge Sa rotation : c'est-à-dire sa capacité d'emmagasiner de l'énergie en lui-même comme une roue d'air. Son magnétisme : si des électrons sont alimentés d'un montant précis d'énergie magnétique, la rotation des électrons absorbera cette énergie et se positionneront en ligne. Qu'est-ce qu'un hydrocarbure ? Les hydrocarbures sont les combustibles tels que l'essence, le diesel, le fioul, le gaz naturel, le propane, le mazout,... utilisés comme source d'énergie pour bien des applications que nous connaissons tous. Le plus simple des hydrocarbures, le méthane (CH4), est le constituant principal du gaz naturel (à 90%) et une source importante d'hydrogène. Cette molécule est composée d'un atome de carbone et de quatre atomes d'hydrogène et sa charge électrique est neutre. Lors de la combustion, d'un point de vue énergétique, la plus grande partie de l'énergie libérable provient de l'oxydation de l'hydrogène. Pourquoi les hydrocarbures prennent une charge magnétique ? Nous allons voir dans un premier temps comment l'hydrogène, constituant très énergétique d'un hydrocarbure, réagi par rapport aux champs magnétiques et le rendement d'énergie accru s'y accompagnant. L'hydrogène est l'élément le plus léger et le plus fondamental que n'ait jamais connu l'homme. Sa structure simple est constituée de un proton et un électron seulement. Il est le premier élément dans la table des éléments périodiques, avec le numéro atomique 1. Puisqu'il possède seulement un électron, on dit qu'il a la "valence" positive 1. Bien qu'il soit le plus simple des éléments, il peut se présenter sous deux formes isométriques distinctes, les formes PARA et ORTHO, caractérisées par des rotations nucléaires opposés. Par exemple, à 20° C (température ambiante) 75% d'hydrogène est sous la forme para. Il faut abaisser sa température à -235°C (hydrogène liquide) pour qu'à 99% il devienne ortho, c-à-d un état plus volatil. Sur les molécules para, les rotations des protons sont anti-parallèles, alors que dans les molécules ortho les rotations sont parallèles (voir schéma ci contre). L'orientation des rotations a un effet prononcé sur le comportement de la molécule. En effet, l'ortho-hydrogène est plus instable et plus réactif que sa contrepartie para-hydrogène. Dans les années 1950, un scientifique de l'aérospatial US, Simon Ruskin, s'est vu alloué le brevet n°3.228.868, rapportant les moyens par lesquels le carburant hydrogène des missiles peut être converti du para-hydrogène stable en ortho-hydrogène plus volatil, plus instable, plus inflammable et réactif par l'application d'un champ magnétique. Notons que sous l'U.S.C. 35, section 101 aux Etats-Unis, tout brevet d'utilité doit être scientifiquement prouvé, fonctionnel et correcte avant établissement. Le champ magnétique peut changer l'orientation orbitale de l'électron relativement à la rotation du noyau. Sous l'état normal "Para", la molécule a une rotation d'électron dans la direction opposée du noyau. Une fois affecté par un champ magnétique, l'électron prend l'énergie et commence à tourner dans la même direction que le noyau. Puis, selon le champ, le noyau et l'électron orbital S'ALIGNERONT vers la gauche ou la droite. Ceci se produit au niveau MACRO ou moléculaire qui s'appelle la polarisation et également au niveau MICRO ou quanta. Ce ne sont pas des théories, mais des lois physiques de base. C'est une question d'énergie cinétique ayant pour résultat le comportement désiré commandé. Par conséquent, il ne devrait pas être trop étonnant que les hydrocarbures soient aussi affectés sous l'application d'un champ magnétique. Pour preuve, une liste complète des molécules hydrocarbures est présentée dans le manuel du CRC de la Chimie et de la Physique (CRC Handbook of Chemistry and Physics) dans la section des matériaux magnétiques. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le manuel du CRC, c'est un livre scientifique général de recherches qui est la "bible" du monde scientifique - Toute étude scientifique sérieuse ne peut pas procéder sans elle. C'est la pierre angulaire de n'importe quelle bibliothèque technique. Quand un hydrocarbure liquide rencontre un champ magnétique, les molécules ont un "effet de vrillage". Le vrillage, ou l'effet de rotation est optiquement surveillé par un faisceau de lumière traversant une colonne d'hydrocarbure. La quantité de rotation moléculaire magnétique est en fonction de la force du champ magnétique et de la densité du fluide. Deux physiciens français, Verdet et Kerr, ont étudié l'effet et ont rapporté les résultats dans les Tables de Constantes et Données Numériques dans une section intitulé Pouvoir Rotatoire Magnétique (Effet Magnéto-Optique de Kerr). Les valeurs numériques indiquées sont des rotations magnétiques des molécules d'hydrocarbure (dont les constituants des carburants et combustibles) qui sont classées relativement par rapport à la rotation (de dipôle) de la molécule d'eau. En résumé, lorsqu'on examine la table des puissances des rotations magnétiques, on peut clairement voir qu'il y a des effets magnétisme-hydrocarbures qui sont même plus grands que les effets sur l'eau. Pourquoi les hydrocarbures brûlent plus efficacement sous l'influence de champs magnétiques ? Les hydrocarbures sont structurés en "cage". Ils ont tendance par défaut à être dans un état stable et se lient entre eux pour former des grands groupes de faisceaux ou associations. L'oxydation (ou la combustion) des atomes de carbones situés aux centres des molécules pendant le processus de combustion est gênée par les atomes d'hydrogènes qui l'entourent. De plus, l'accès de l'oxygène à l'intérieur de ces groupes de molécules est rendu difficile. Reprenons l'exemple du méthane, l'hydrocarbure le plus simple et constituant essentiel du gaz naturel. Dans la combustion du gaz méthane CH4 avec l'oxygène O2 de l'air, le produit final de la réaction chimique est le gaz dioxyde de carbone CO2 et de la vapeur d'eau H2O (l'équation réelle est : CH4 + 202 = CO2 + 2H2O). Les schémas ci-dessous montrent l'effet d'une molécule de méthane avec et sans stimulation d'un champ magnétique. Modifier les propriétés de rotation de la couche externe de la molécule de méthane augmente la réactivité du combustible. Un champ d'ionisation suffisamment puissant peut transformer de manière substantielle l'atome d'hydrocarbure, en le faisant passer de son état "Para"-Hydrogène à un état "Ortho"-Hydrogène plus énergétique, plus volatile et qui attire donc plus d'oxygène. L'état de rotation le plus énergétique de la molécule d'hydrogène est caractérisé par un haut potentiel électrique (réactivité) qui attire les atomes d'oxygène supplémentaires. Ainsi une amélioration de l'oxydation accroît l'efficacité de la combustion. Voyons maintenant quand est-il exactement de l'efficacité d'un flux magnétique sur précisément les combustibles et les carburants. Grossièrement, pour brûler entièrement 1 litre de carburant, on a besoin d'environ 15 litres d'air. En théorie, les gaz issus de la combustion devraient donc contenir : du dioxyde de carbone CO2, de l'eau H2O en vapeur et de l'azote N2 qui provient de l'air et ne participant pas à la combustion. Mais nous savons tous qu'en réalité, les gaz rejetés contiennent en plus des polluants toxiques comme les CO, HC, et les NOx. CO = molécule de monoxyde de carbone HC = molécule d'hydrocarbure non brûlé appelé aussi "hydrocarboné" NOx = molécules d'oxydes d'azotes Ceci est provoqué par un processus de combustion incomplet. Une partie des émissions polluantes rejetées se déposent sur les parois internes du moteur ou des brûleurs, dans les échappements ou les conduits, sous forme de suie ou calamine (= résidus de carbone noir). Cela démontre que lors de la combustion (dans un moteur ou un brûleur), une partie des atomes de carbone ne sont pas complètements oxydés et forment des molécules CO et HC. Avec plus de précision, cela s'explique globalement par le fait que l'oxygène de l'air, avec sa valence moins 2 (manque d'électrons) est négatif, alors que les combustibles présentent des structures moléculaires neutres. En effet, l'atome de carbone, de part ses caractéristiques peut aussi bien avoir une valence positive que négative (surplus ou insuffisance d'électrons dans sa périphérie). C'est pourquoi, les molécules qui ont les mêmes potentiels négatifs dans la chambre de combustion, se repoussent et provoquent la combustion incomplète. Le graphique ci-dessus reprend le diagramme stoechiométrique du manuel "Mark's Standard Handbook for Mechanical Engineers" de Baumeister montrant le rapport entre les rejets émis de gaz polluants et l'augmentation de l'efficacité de combustion. Note : Les appareils Magnetizer permettent de diminuer encore plus les CO par rapport à ce que montre le graphique. Cela est dû à une efficacité de combustion supérieure à 96,6% permettant ainsi des économies supplémentaires. Les divers essais faits par les agences d'analyses reconnues sur les rejets de gaz utilisant l'équipement Magnetizer prouvent l'efficacité de ces appareils. Il est évident que les gaz hydrocarbonés HC non brûlés puissent être considérés comme source de combustible, puisqu'ils peuvent être brûlés après. En outre le monoxyde de carbone CO émis dans les fumées après combustion peut être également encore brûlé. Le dictionnaire de la chimie condensé de Hawley's fait état que le CO est fortement inflammable et présente un potentiel explosif. Autre exemple, le monoxyde de carbone CO est brûlé dans le pot catalytique des véhicules. La soumission de l'hydrocarbure à un champ magnétique correctement focalisé (forces de Van Der Waals), entraîne une efficacité optimum de combustion. En fait, quand les rejets de gaz polluants diminuent, l'efficacité de combustion augmente. Les essais stoechiométriques indiquent une réduction moyenne en hydrocarbonés (carburant non brûlé HC) jusqu'à 92%, et en monoxyde de carbone CO jusqu'à 99.9%. Ce ratio d'efficacité réduction/combustion des gaz CO et HC se traduit concrètement dans le milieu automobile par une augmentation moyenne du kilométrage par plein et une économie de consommation de combustible pour les chaudières. Quand est-il de l'oxyde d'azote NOx ? Un des composants principaux des fumées photochimiques est l'oxyde nitrique ou pour être plus précis, les oxydes d'azotes ; l'oxygène selon la chaleur et la pression peut former des combinaisons différentes avec l'azote. L'oxyde nitrique est un gaz sans couleur produit par la combustion à hautes températures ; cependant, quand il rencontre de l'oxygène supplémentaire en présence de l'air et de la lumière du soleil il se convertit aisément en dioxyde d'azote (NO2). Le dioxyde d'azote est la brume brune rougeâtre que nous associons à un brouillard. La formule pour le dioxyde d'azote (NO2) est tout à fait semblable à la formule du dioxyde de carbone CO2, Mais la combustion de ce dernier est impossible, alors que le dioxyde d'azote peut brûler . Les règlements stricts de la CEE contre la pollution ont mis énormément de volonté pour réduire ces polluants mortels. Le dioxyde d'azote est très toxique puisque le seuil de volume mortel (TLV) est de 3 ppm (partie par million), alors que toujours classifié toxique le dioxyde de carbone n'a qu'un TLV de 5.000 ppm, et le TLV de l'oxyde de carbone CO est de 50 ppm. Il est inquiétant de savoir que le dioxyde d'azote est le composant principal du brouillard rougeâtre et qu'il est approximativement 16 fois plus toxique que l'oxyde de carbone. Nous pouvons aisément voir que la réduction du dioxyde d'azote dans notre atmosphère est d'une importance primordiale. Cependant lors de la combustion, les rejets de gaz oxyde d'azote reste difficile à maîtriser. Maintenant, il existe un moyen sain pour réduire les problèmes d'oxydes d'azote NOx. La solution est le dynamiseur MAGNETIZER. Comme démontré par les essais, le traitement magnétique des carburants a réduit la production de NOx de 20% et plus. Une des raisons principale est due à la basse réactivité du gaz d'azote. Si nous pouvons lier tout l'oxygène disponible avec l'hydrocarbure du carburant, plus aucun oxygène ne sera simplement là pour former les composés non désirés d'azote. Stoechiométriquement, il reste très peu d'oxygène pour produire les composés toxiques avec de l'azote. Il s'avère que le traitement magnétique est le moyen le plus simple pour réaliser cet exploit. ^haut de page^ Le Monopolaire meilleur que le bipolaire Le traitement magnétique du carburant représente une nouvelle technologie. Beaucoup de tentatives effectuées par de divers inventeurs et investigateurs scientifiques dans le monde entier ont été très loin d'être satisfait à l'emploi de la technique classique bipolaire. Les champs magnétiques, comme l'électricité, choisissent le chemin de moindre résistance ; et de cette manière, elle représente également le chemin du moindre effet. Tel est ce qui se passe avec les dispositifs bipolaires. La société Magnetizer Industrial Technologie Inc. (anciennement Magnetizer Group, Inc.) est fondateur de la technologie Monopolaire, ou en d'autres termes, de l'utilisation de la technique à pôle unique. L'application du champ Monopolaire augmente le champ de flux (densité de puissance) de 20 à 500 fois plus que la technologie bipolaire classique. C'est d'une importance capitale, puisqu'elle est exigée pour avoir la densité de flux nécessaire à une excitation de l'activité des électrons causant l'effet accru de l'oxydation. C'est pourquoi tous les systèmes antérieurs au dynamiseur Magnetizer n'ont pas pu montrer des résultats suffisants. L'arrivée plus récente des analyseurs de gaz de combustions, employé pour surveiller et respecter les normes anti-pollutions imposées par les gouvernements selon la science stoechiométrique, a considérablement facilité la mise en évidence des résultats de la recherche magnétique sur les combustibles et les carburants. OPTIMISATION et L’INFLUENCE du TRAITEMENT MAGNETIQUE des HYDROCARBURES et GAZ de Ville Réglage pour brûleur fioul ou gaz Après la pose d’un dispositif magnétique deux constatations peuvent être observées. Pour chacune d’elles des réglages différents devront être effectués. 1ère constatation : - augmentation de la température des gaz de combustion - augmentation de l’excès d’air (O2) - diminution du CO2 et par conséquent du rendement de combustion EXPLICATION : la chaudière est correctement réglée, le débit correspond à la puissance nominale. Les champs magnétiques agissent sur les tensions superficielles du combustible, celles-ci diminues, les molécules s’expansent et prélèvent plus de comburant (oxygène) induisant une combustion plus complète. Cette énergie supplémentaire est utilisée, ce qui engendre une augmentation de la température de la flamme (environ 5 à 6 % ) et une diminution des imbrûlés. La chaudière ne peut pas absorber cette augmentation de puissance et la combustion se développe avec un excès d’air. Cet excès puissance/air de combustion se retrouve dans la température des fumées. Le rendement étant directement lié à la température des gaz de combustion et au CO2, celui-ci risque de diminuer. REGLAGES : - diminuer progressivement l’arrivée d’air pour arriver à un O2 le plus bas possible (0,7/0,9 étant une valeur minimum) - pendant cette diminution vérifier la dérive éventuelle du CO, celui-ci ne doit en aucun cas être supérieur à 50 ppm (équivalent d’un indice d’opacité de +/- 0) - si cette opération n’a pas permis d’obtenir une température acceptable (160/180°) diminuer proportionnellement le débit de combustible et le débit d’air en respectant les consignes précédentes. NOTA : ce cas est le plus fréquent et les économies d’énergie peuvent être chiffrées selon les critères suivants : - augmentation du rendement de combustion - diminution du débit de combustible - augmentation du rendement d’exploitation - diminution de l’excès d’air, donc du volume des fumées (pollution) 2ème constatation : - la température des gaz de combustion chute (de 15 à 30°) - l’excès d’air diminue ou varie peu (O2) - le CO2 augmente ou varie peu le CO diminue EXPLICATION : la chaudière n’était pas réglée au maximum de sa puissance. Pour les mêmes raisons que précédemment la flamme se développe mieux dans le foyer, sa qualité émissive par rayonnement est plus importante et le flux de chaleur supplémentaire est absorbé par le fluide caloporteur. La plus grande disponibilité des molécules de combustible permet une combustion plus complète et plus homogène en utilisant l’oxygène disponible. REGLAGES : - réduire l’arrivée d’air - contrôler la dérive du CO - si la température des fumées est trop basse ( - de 140° ) on peut exceptionnellement augmenter les débits d’air et de combustible afin d’obtenir le meilleur CO2 possible, soit : 15% pour le fioul et 11,8% pour le gaz. REMARQUE : avantage supplémentaire : les effets du traitement magnétique permettent de fonctionner à des températures plus basses qu’à l’habituel sans craindre le point de rosée. Les économies réalisées se mesurent essentiellement sur le gain en rendement de combustion et surtout d’exploitation (kWh/Kg ou m3) a bientôt ecofute.net

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