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mercredi 28 septembre 2016
mardi 27 septembre 2016
mercredi 21 janvier 2015
Chauffage par ionisation en 2015
Le chauffage à ionisation est un système de chauffage central tout électrique basé sur l’utilisation maximale de l’énergie via l’électrolyse.
Le processus se fait par ionisation; l'ionisation est l'action qui consiste à enlever ou ajouter des charges à un atome ou une molécule. En extrayant les électrons de la structure atomique de l’élément en action (eau) à l’aide d’un courant primaire, cela produit de la chaleur. Ce processus est capable de maintenir l’eau à la température de 90°.
Dans le chauffage à ionisation il n’y a pas de corps de chauffe ni de résistance ; cette fonction est assumée par l’eau qui y circule. En l’absence de résistance ou corps de chauffe le circuit électrique cherche à boucler et la vitesse des électrons accélère jusqu’à environ 280 kilomètres par seconde. La friction qui en découle chauffe violemment l’eau, un peu comme dans un four à micro-ondes qui agite les molécules d’eau contenues dans les aliments pour les chauffer.
Le chauffage à ionisation n’est pas une pompe à chaleur, il n’y a aucune pièce en mouvement et pas de liquide frigorigène non plus (dans le domaine des gaz à effet de serre, les liquides frigorigènes utilisés dans les pompes à chaleur sont jusqu'à 15 000 fois plus polluants que le CO²). Le chauffage à ionisation est un système de chauffage propre, silencieux, et qui ne brasse pas d'air.
Les performances de le chauffage à ionisation sont identiques, quelle que soit la température extérieure, même très fortement négative. Les « COP » des pompes à chaleur indiqués sont mesuré à + 7°, en général une résistance électrique prend le relais en cas de température négative.
Cela signifie que par -20° constant le chauffage à ionisation vous coûtera toujours au moins deux fois moins cher que le mazout (s'il n'est pas figé...), ce qui n'est pas le cas d'une pompe air/air qui a besoin d'une résistance électrique bien avant une telle température.
- pas de réseau spécifique, ni frais de raccordement ou frais d’abonnement supplémentaires (gaz…)
- pas d’aménagement spécial type fosse de rétention (mazout…), colonne spéciale (gaz…) ou abris (bois), ou coin de pelouse occupé (propane)
- pas de cheminée d’extraction de fumée ou ventouse
- pas de ramonage
- pas de stockage d’avance de l’énergie, on paye après avoir consommé
- pas de corvée (de bois)
Chauffage par ionisation : Une extrême fiabilité du système
Les systèmes utilisés sont des générateurs d’eau chaude dont le principe est basé sur l’électrolyse de l’eau.
Les avantages par rapport à un chauffage fuel ou propane, sont :
Absence de pièce mécanique en mouvement (hormis l’accélérateur)
Absence de gaz frigorigène (pas de recharge périodique, pas de mise aux normes prochaines, pas d’entretien…).
Absence de bruit, pas de compresseur, pas de ventilateur (contrairement à une PAC Air/Air où la puissance sonore est de 60 à 75 dB et d’environ 45 à 55 dB pour une PAC Sol/Eau).
Contrôle à tout moment de la puissance consommée en cumulé (un compteur d’énergie est intégré d’office dans le module électrique), ceci assurant une transparence totale de l’énergie consommée uniquement pour le chauffage et pouvant ainsi vous permettre de calculer les performances énergétiques de votre habitation.
Chauffage par ionisation : Une installation financièrement économique :
Des travaux de modification réduits au minimum, l’unité venant tout simplement en substitution de votre ancienne chaudière.
Pas de remise en cause des émetteurs de chauffage (radiateurs), ces derniers ayant la même température d’eau en entrée, auront exactement la même puissance de dissipation calorifique et ceci contrairement aux pompes à chaleur traditionnelles qui ont une température de sortie nettement inférieure et qui devront obligatoirement être surdimensionnées pour assurer la même puissance.
Pas de terrassement extérieur ou de forage pour l’installation du réseau de captage en comparaison des pompes à chaleur Sol/Air ou Sol/Eau, pour mémoire ce réseau de captage en solution enterré doit être à une profondeur supérieure de 1m (ce qui est vraiment un minimum) et sur une surface de 1,5 fois à 2 fois la surface à chauffer.
Pas d’installation d’un réseau de distribution de l’air chaud contrairement aux pompes à chaleur Air/Air ou Sol/Air.
Pas d’installation électrique supplémentaire dans les pièces à vivre, contrairement à l’installation que nécessite un chauffage électrique par convecteurs ou à accumulation avec l’alimentation spécifique de ces appareils.
Pas de comptage électrique double tarif dans le cas d’utilisation en chauffage seul.
mardi 30 décembre 2014
Cogénération système Rankine
dimanche 26 octobre 2014
Importance du taux de l'hygrométrie
Comment contrôler l’humidité d’une maison ?
Généralement, la mesure de l’hygrométrie d’une pièce se fait par le biais d’un hygromètre. Il existe deux types d’hygromètres : l’hygromètre mécanique qui présente un cadran avec une aiguille et l’hygromètre électronique qui présente un écran digital. L’utilisateur doit placer l’appareil dans la pièce dont il veut mesurer la quantité de vapeur d’eau. L’hygrostat est intégré dans un humidificateur d’air. Cet hygrostat procède à une analyse. La durée de l’analyse est variable. Il faut signaler que l’hygrostat à aiguilles n’est pas très précis. L’hygrostat électronique, par contre, fournit des informations fiables à 100%. Lorsque l’on met le potentiomètre en mouvement, la quantité d’humidité désirée s’affiche.
Autre moyen d’apprécier la qualité de l’air dans une pièce ou une maison : le diagnostic professionnel. Le professionnel va installer un testeur d’humidité dans une pièce de la maison et celui-ci va automatiquement informer sur l’hygrométrie de la pièce. Le professionnel peut également effectuer un prélèvement du matériau si cela est nécessaire.
Quel est le taux d’humidité idéal pour votre maison ?
Il faut savoir qu’une teneur en eau trop importante dans l’air peut être à l’origine de problèmes de santé tels que des allergies. Une teneur trop faible peut aussi causer certains désagréments comme un assèchement des muqueuses, une gêne à la respiration. Pour le bien-être des habitants, il faut alors que l’humidité soit maintenue à des valeurs précises. D’après les médecins, le taux d’humidité idéal dans une maison varie entre 40 et 60% pour les individus ne présentant aucun problème de santé. Pour ceux qui souffrent de certaines pathologies, ce taux est compris entre 45 et 55%. De manière générale, on dit alors que le taux d’humidité idéal dans une habitation est compris entre 45 et 65%. Il existe toutefois certaines petites variations. Elles dépendent de facteurs tels que la température à l’extérieur de la maison, le chauffage… En effet, un facteur comme le chauffage est responsable d’une baisse de la saturation de l’air en eau. En outre, une mauvaise isolation peut faire varier l’imprégnation de l’air en eau à l’intérieur de l’habitation.
Comment conserver un taux idéal dans les intérieurs ?
De manière générale, il faut savoir que certaines mesures permettent d’obtenir un taux d’humidité idéal à l’intérieur d’une habitation. Il s’agit de l’installation d’un humidificateur, de l’installation d’un absorbeur d’humidité électrique ou chimique, de l’optimisation de la ventilation (ouverture, fermeture des portes et fenêtres à certains moments). L’aide d’un professionnel peut s’avérer être utile pour la mise en application de certaines mesures.
Avec le changement des saisons, le taux d’humidité idéal varie.
En hiver, il est compris entre 30 et 60%. Pour le maintenir à ces valeurs, une limitation de l’humidification de l’air doit se faire. Il convient alors de placer un déshumidificateur dans les coins de la maison qui sont le plus souvent soumis aux effets de l’humidité. Il est recommandé d’installer une correction automatique de la consigne en fonction de l’humidité qui règne dans la pièce.
En été, où la chaleur est souvent étouffante, il faut utiliser un humidificateur pour améliorer le bien-être des occupants.
Il est recommandé de ne pas installer un hygromètre à proximité d’une source de chaleur directe comme une cheminée, un radiateur… Un tel acte pourrait fausser les résultats de l’appareil.
Dans une maison neuve, il est important de procéder à certaines vérifications avant de programmer un appareil censé réguler la quantité d’eau dans l’air. Il est alors recommandé de vérifier si l’horaire de programmation est correct, si le traitement de l’air fonctionne en permanence… Il faut aussi adapter la consigne en fonction des températures.
Le contrôle de l'humidité en résumé :
Le contrôle d'humidité d'une habitation passe par la surveillance (un hygromètre) et l'installation d'un déshumidificateur (permettant de déshumidifier l'air) et si nécessaire d'un humidificateur d'air. Au-delà des mesures d'assainissement et de bonne ventilation du logement nécessaires pour un bon contrôle d'humidité, ces appareils permettent en effet d'avoir un vrai contrôle d’humidité en évitant les variations d'humidité (très utile pour la conservation de meubles, tableaux, livres ou instruments de musique (violon, piano …). Les technique de contrôle d'humidité présentées par Parallerg permettent bien sûr de maîtriser son humidité en limitant le développement des acariens, des moisissures et l'apparition de crises d'asthme.
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vendredi 17 octobre 2014
Comment polluer moins et faire des économies de carburant
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