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lundi 30 juillet 2012

assitance commerciale et technique ecofute.net


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jeudi 26 juillet 2012

Vous avez remarquez que votre compteur de vitesse auto n'affiche pas la même vitesse que cette de votre GPS .


Laquelle est la bonne ? Aucune mais la plus précise est celle du GPS Comment fonctionne notre compteur de vitesse ? Le constructeur compte le nombre de tour de roue (tachtmètre ) et le multiplie par le perimètre de celle ci exemple une roue de 15 pouces de diametre = 15x25,4 (équivalence du pouce en mm ) x pi ( 3,14) = 1196,34 mm soit 1,196 m et 0,001196 Km donc pour 100 Km il faut que la roue fasse 83 612 tours mais voilà ce calcule est bon sans tenir compte de l'affaissement de la roue sous le poids du véhicule ou pire encore un sous gonflage. La perte de diamètre est d'environ 12,5 mm soit 1  pouce au diamètre . Je vous fais grace de tout les calculs précèdent, on arrive 89605 tours de roue. Pourtant nous avons parcouru le même nombre de Km Donc il y a9 % d’écart de vitesse entre le calcule du constructeur et la réalité. Le phénomène est bien sur moins important avec des pneu taille basse au détriment du confort mais amélioration de la tenue de route
Pour les GPS terrestre c'est la méthode des 3 satellites. Sans rentrer dans des détail compliqués voici un petit schéma simplePour des raisons évidentes de sécurité il a été obligatoire de dégrader les information de cette excellent système. La précision est réservée aux armées La dégradation volontaire de la précision Suivant les recommandations du Département of Défense américain (DoD) la précision est ainsi dégradé pour le Standarding Positioning System (S.P.S), c' est à dire pour les civils, aux valeurs suivantes : 100 mètres d' incertitude horizontale 156 mètres d' incertitude verticale 340 nanosecondes d' incertitude sur le temps 0.3 mètres par seconde d' incertitude sur la vitesse exemple 10 Km/h = 27,7 m/s donc la précision est de 27,4 à 28 m/s soit 98,64 Km/h et 100,8 Km/h l’écart est de 0,01% c'est a dire rien Conclusion C'est lea vitesse du GPS qui est la plus juste PS En formule 1 , on se sert d'un tube de Pitot comme pour les avions. C'est impératif car a des vitesse qui varie jusqu'à 320 Km/h les courbes se négocie a des vitesse très précise et nos pauvre compteur enverraient nos pilotes dans les bacs à sable A bientôt Ecofute.net

jeudi 5 juillet 2012


Un fluide électrorhéologique (fluide ER) est une suspension de particules conductrices dispersées dans un fluide isolant. La taille des particules peut varier de quelques nanomètres à plusieurs micromètres, avec une fraction volumique (rapport entre le volume des particules et le volume total) généralement de l’ordre de 20% à 30%. Découvert la première fois par W. M. Winslow en 1947, ce fluide présente des propriétés très intéressantes d'un point de vue tant scientifique que technologique. En fonction du champ électrique appliqué, les propriétés rhéologiques (viscosité, contrainte seuil…) d’un fluide ER sont considérablement modifiées. Cela permet d’obtenir même une « solidification » du fluide. Ce phénomène peut s’expliquer d’une façon macroscopique par la formation des fibres parallèles au champ par les particules. Ces fibres génèrent une liaison entre électrodes et augmentent donc la viscosité de fluide. Le champ d’application de ce fluide est très prometteur car il existe plusieurs avantages. La réponse est rapide (quelques ms) et le phénomène est totalement réversible. Les fluides ER sont également considérés comme matériaux « intelligents » et consomment peu d’énergie. Plusieurs applications ont été proposées (embrayage automobile, amortisseur, contrôle actif de vibration, actionneur…). Pourtant, la contrainte seuil habituelle de quelques kPa du fluide ER n’est pas suffisante pour de vraies applications industrielles. Une autre difficulté est sa stabilité (sédimentation, stabilité thermique, agrégation des particules…). Le caractéristique rhéologique d’un fluide ER est présentée par un rhéogramme donnant la variation de la contrainte de cisaillement en fonction de la vitesse de cisaillement. Le modèle de Bingham est souvent utilisé pour décrire un fluide ER idéal. Récemment, l’équipe de Weijia Weng (Institut Nanoscience de Hongkong) a réussi à développer une nouvelle génération de fluide ER avec une contrainte seuil dépassant 100 kPa (20 fois plus élevée que la contrainte seuil habituellement observée). Le phénomène découvert par les chercheurs chinois est appelé ainsi « Effet ER géant ». Champ d'application potentiel Ce fluide possédant plusieurs avantages, de nombreuses applications ont été proposées. Sa capacité de changement "solide - liquide" fait penser à un embrayage automobile innovant. Une autre application possible du fluide électrorhéologique dans l'industrie de l'automobile est l'amortisseur. Les autres applications envisagées sont actionneur, micro canal, valve et diverses applications en robotique. Un fluide électrorhéologique (fluide ER) est une suspension de particules conductrices dispersées dans un fluide isolant. La taille des particules peut varier de quelques nanomètres à plusieurs micromètres, avec une fraction volumique (rapport entre le volume des particules et le volume total) généralement de l’ordre de 20% à 30%. Découvert la première fois par W. M. Winslow en 1947, ce fluide présente des propriétés très intéressantes d'un point de vue tant scientifique que technologique. En fonction du champ électrique appliqué, les propriétés rhéologiques (viscosité, contrainte seuil…) d’un fluide ER sont considérablement modifiées. Cela permet d’obtenir même une « solidification » du fluide. Ce phénomène peut s’expliquer d’une façon macroscopique par la formation des fibres parallèles au champ par les particules. Ces fibres génèrent une liaison entre électrodes et augmentent donc la viscosité de fluide. Le champ d’application de ce fluide est très prometteur car il existe plusieurs avantages. La réponse est rapide (quelques ms) et le phénomène est totalement réversible. Les fluides ER sont également considérés comme matériaux « intelligents » et consomment peu d’énergie. Plusieurs applications ont été proposées (embrayage automobile, amortisseur, contrôle actif de vibration, actionneur…). Pourtant, la contrainte seuil habituelle de quelques kPa du fluide ER n’est pas suffisante pour de vraies applications industrielles. Une autre difficulté est sa stabilité (sédimentation, stabilité thermique, agrégation des particules…). Le caractéristique rhéologique d’un fluide ER est présentée par un rhéogramme donnant la variation de la contrainte de cisaillement en fonction de la vitesse de cisaillement. Le modèle de Bingham est souvent utilisé pour décrire un fluide ER idéal. Récemment, l’équipe de Weijia Weng (Institut Nanoscience de Hongkong) a réussi à développer une nouvelle génération de fluide ER avec une contrainte seuil dépassant 100 kPa (20 fois plus élevée que la contrainte seuil habituellement observée). Le phénomène découvert par les chercheurs chinois est appelé ainsi « Effet ER géant ». Champ d'application potentiel Ce fluide possédant plusieurs avantages, de nombreuses applications ont été proposées. Sa capacité de changement "solide - liquide" fait penser à un embrayage automobile innovant. Une autre application possible du fluide électrorhéologique dans l'industrie de l'automobile est l'amortisseur. Les autres applications envisagées sont actionneur, micro canal, valve et diverses applications en robotique. Renseignez vous chez ecofute.net