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samedi 26 mai 2012

LE CO2, UN POLLUANT D’AVENIR ?


Alors que la technique de capture et de stockage géologique du CO2 fait débat, des chercheurs s’intéressent à d’autres voies de valorisation, chimiques et énergétiques, du dioxyde de carbone. Exemple à l’IFPEN, qui expérimente différents procédés. On ne le crie pas sur les toits, mais le CO2 est déjà utilisé comme matière première dans certaines industries. Il faut dire que cette exploitation reste marginale, comparée aux 30 Gigatonnes émises chaque année par les activités humaines à l’échelle du globe. Le marché mondial du CO2, qui concerne principalement la chimie (polycarbonates, solvants…) et l’industrie pétrolière, représente en volume inférieur à ce que la France émet annuellement. Néanmoins, la valorisation directe du gaz à effet de serre s’impose comme une solution d'avenir, en complément de la sobriété énergétique et du stockage géologique du CO2. L’IFP Energies Nouvelles a décidé de financer un programme de recherches sur le sujet. « Le but n’est pas d’éliminer le CO2 », précise Laurent Forti, de la direction scientifique de l’IFPEN, « mais de lui offrir une seconde vie. Ce gaz étant ensuite toujours réémis, sauf dans le cas d’une minéralisation, on se contente d’éviter de consommer un carbone fossile ». Electroréduction et photocatalyse L’organisme de recherche s’intéresse en particulier à deux voies destinées aux secteur de la chimie et de l’énergie : l’électroréduction : c'est le procédé inverse de la pile à combustible, puisqu’il consomme de l’énergie pour fabriquer un composé d’intérêt à partir d’un réactif. A ce stade, l’IFPEN dispose d’une unité pilote pour produire, à partir de CO2 et d’électricité, de l’acide formique, un intermédiaire chimique très répandu dans l’industrie. Les chercheurs travaillent sur le catalyseur métallique pour améliorer le rendement de la réaction ; la photocatalyse : l’énergie lumineuse et un catalyseur sont utilisés pour dégrader le dioxyde de carbone en produits énergétiques. L’IFPEN passe en revue les catalyseurs à même de réaliser la réaction. L’IFPEN s’engage enfin sur une troisième voie, qu’il souhaite mener main dans la main avec les industriels. « L’idée est de trouver chez des émetteurs importants de CO2 le gisement le plus intéressant en vue d’une valorisation, de leur apporter notre expertise en termes de génie des procédés, d’analyse économique et énergétique », explique Laurent Forti. Des partenariats sans doute indispensables pour lever les nombreux verrous économiques et technologiques (rendement, fiabilité, réponses aux standards du marché…) qui subsistent autour de la valorisation du dioxyde de carbone. La valorisation du CO2 consiste à transformer le CO2 en matière première pour différentes industries (chimie, agroalimentaire, etc.) ou en carburant. L'enjeu est double : recycler le CO2 en réduisant la consommation de matières premières fossiles et contribuer à réduire les émissions de CO2. La valorisation du CO2 vient ainsi compléter les autres solutions actuellement en développement (sobriété et efficacité énergétiques, captage et stockage géologique, développement des énergies renouvelables, etc.). Les voies de transformation chimique ou biologique du CO2 sont nombreuses ainsi que les débouchés industriels. IFPEN étudie déjà certaines de ces voies de valorisation (électroréduction, transformation photocatalytique, etc.), parallèlement à ses travaux dans le domaine du captage-stockage du CO2. IFPEN s'appuie, pour cela, sur ses compétences en catalyse, génie des procédés, analyse environnementale et économique, et biotechnologie. Reconnu comme concepteur et intégrateur de technologies, IFPEN proposera une approche globale pour l'analyse des différentes filières de valorisation. Celle-ci devra ainsi prendre en compte un certain nombre de critères environnementaux et technico-économiques : valeur de marché du CO2, variabilité du coût de l'électricité, volume de CO2 pouvant être traité, accès au CO2, concentration et pureté du CO2, etc. La possibilité d'utiliser de l'énergie non émettrice de gaz à effet de serre et à bas coût pour transformer le CO2 est également un élément déterminant pour garantir la rentabilité et la valeur environnementale de la valorisation du CO2. Le modèle économique à élaborer doit aussi s'appuyer sur des critères géographiques : localisation des sites émetteurs de CO2et des sites potentiels de transformation. La rentabilité des systèmes dépendra notamment de la proximité de ces sites et des synergies économiques et techniques rencontrées entre les différentes acteurs. L'objectif est de parvenir à mettre en place un système optimisé, une économie circulaire où "le déchet de l'un deviendrait la matière première de l'autre". A bientôt Ecofute.net

lundi 14 mai 2012


A bientot ecofute.net

vendredi 11 mai 2012

ÉNERGIE: Une pile à combustible pour les particulierb ????


L’annonce faite par Panasonic, il y a six mois, d’ouvrir dans son centre de recherche européen à Langen en Allemagne, une unité dédiée à la pile à combustible pour l’habitat illustre les ambitions mondiales du constructeur japonais dans ce domaine. Le PFCOE (Panasonic Fuel Cell Development Office Europe) a comme mission d’adapter au marché européen un microcogénérateur à pile à combustible alimenté au gaz. Baptisé « Ene-Farm », cette chaudière gaz déjà commercialisé au Japon depuis plusieurs années est destinée au marché domestique. Panasonic l’a développé en collaboration avec Tokyo Gas et en a déjà vendu plusieurs milliers d’exemplaires depuis 2009, grâce aux soutiens financiers des pouvoirs publics nippons. L’enjeu est d’optimiser l’appareil aux spécificités du gaz naturel utilisé en Europe.
Une technologie propre L’hydrogène utilisé dans la pile à combustible est un simple vecteur énergétique, qui peut être produit à partir de combustibles carbone (fossiles ou bois) ou comme produit dérivé d’un process industriel. Dans le cas de l’Ene-Farm, l’hydrogène est produit dans la chaudière à partir de gaz de ville. La pile à combustible fonctionne à l’inverse d’un électrolyseur. Elle génère du courant électrique continu en mélangeant l’oxygène contenu dans l’air avec l’hydrogène ainsi produit. Cette oxydo-réduction produisant des molécules d’eau est propre, sauf si des impuretés sont contenues dans l’hydrogène. La réaction dégage aussi de la chaleur qui est récupérée via un échangeur pour produire de l’eau chaude (sanitaire et chauffage). Le rendement global du microcogénérateur peut ainsi dépasser 90 %. Le rendement du module électrique seul d’une pile à combustible ne dépasse pas 60 %. Les piles à combustibles sont classées en plusieurs grandes familles en fonction de l’électrolyte et du catalyseur utilisés, qui déterminent en particulier leur plage de température de fonctionnement et donc le temps de démarrage de la réaction et la compacité de la pile. Ces différents éléments conditionnent aussi le coût et la durée de la vie de la pile, et font que telle technologie sera plutôt utilisée pour des applications mobiles (comme les voitures) et telle autre préférée pour les usages stationnaires, de type industries ou bâtiments. En fonction de la technologie employée, la pile sera aussi plus ou moins sensible aux impuretés contenues dans l’hydrogène.
L’avenir passe par l’oxyde solide Quatre familles de piles ont trouvé des applications dans le bâtiment. La pile Ene-Farm est de type PEM (Proton exchange membrane), une technologie robuste qui fonctionne aux alentours de 80 °C et démarrant rapidement. Sa puissance peut couvrir une gamme allant de 0,7 kW (téléphones mobiles) à plus de 1 000 kW, pour les immeubles d’habitation. Mais pour les industriels japonais, l’avenir réside dans la technologie SOFC à oxyde solide, dont la gamme de puissance inférieure à 2 kW répond aux besoins du petit résidentiel. Le frein actuel réside essentiellement dans un maintien des performances initiales qui ne dépasse guère deux à trois ans. Le changement de technologie doit permettre de diviser le coût de revient du système par trois par rapport au modèle actuel, permettant de faire décoller le marché. Par ailleurs, leur fonctionnement à très haute température, entre 650 et 1 000 °C, permet dans le même module de générer l’hydrogène par reformage du combustible carbone (gaz naturel, bois, kérosène, méthane…). (Très) lente au démarrage La conséquence de cette température de fonctionnement élevée, outre les problèmes de sécurité posés, est un temps de démarrage de la chaudière qui peut atteindre vingt-cinq heures pour atteindre la pleine puissance. Un microcogénérateur à pile à combustible qui fonctionne au gaz, comme l’Ene-Farm, ajoute aux dangers connus du gaz ceux spécifiques à l’hydrogène. Il faut en particulier éviter les fuites intempestives d’hydrogène (par exemple du fait d’une porosité des joints) et le mélange involontaire avec l’oxygène de l’air. En effet, le frottement de certains vêtements peut suffire pour provoquer l’explosion. Un risque réel dans un local fermé et mal ventilé. La conception du matériel doit aussi tenir compte des risques éventuels d’émission de CO et de CO2 lors du reformage du gaz. L’Europe a publié, début 2009, un guide des bonnes pratiques intitulé « Installation Permitting Guidance for Hydrogen and Fuel Cells Stationary Applications (HYPER) », qui étudient les risques des installations d’une puissance inférieure à 10 kWe et à 50 kW au total. Comme les fuites de l’hydrogène, un gaz incolore, inodore et plus léger que l’air, est difficile à détecter. Le plus sûr en climat tempéré est d’installer le cogénérateur à l’extérieur. PUISSANCE TRIPLE Ene-Farm est une pile contenue dans deux armoires conçues en un seul bloc, installées à l’extérieur de l’habitat pour des raisons de sécurité, avec un écran de contrôle dans la cuisine. Cette deuxième génération de matériel commercialisée depuis avril 2011 sur le marché japonais offre une puissance électrique allant jusqu’à 750 W pour une consommation électrique réduite à 250 W. La garantie est de dix ans pour une fréquence de maintenance tous les deux ou trois ans. a Bientôt Ecofute.net

vendredi 4 mai 2012

Panneaux Isolants sous vide : Performance jusqu'à 8 fois plus mince qu'une isolation traditionnelle.


Ils sont 3 - 4 fois plus performants que l'air immobile. Valorisez vos surfaces SHON !
Voici les surfaces certifiées par DIBt (Germany). L'organisme de certification DIBt fait partie comme CSTB (France) ou bien UBAtc (Belgique) EMPA (Suisse), OIB (Autriche) ... de l'organisation EOTA. (Organisation Européenne pour les Agréments Techniques) Ces organismes nationaux sont régulièrement audités, autorisés et notifiés conformément à l'article 10 de la directive 89/106/EEC du Conseil, du 21 décembre 1988, relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des Etats membres concernant les produits de construction.
Commission européenne - Environnement Un article de la Commission européenne sous: - ETAP Environnemental Technology Action Plan - Produits écologiques et éco-conception - Panneaux sous vide pour simplifier la rénovation du 18 Août 2008. Le transfert technologique de l'industrie vers le bâtiment s'est opéré progressivement avec une première certification obtenue dès 01 Juil. 2008: - Certification DIBt Z-23.11-1662 reconduction du 01 Juill. 2010 selon Norm DIN V 4108-10, validation de 10 applications standardisées. Certification au même niveau qu'une certification CSTB. - Vacupor® NT-B2-S Selon certification λ = 0,0070 W/m.K. (soit R = 5 atteint avec 35 mm) Cette valeur Lambda est à utiliser pour tous les logiciels de simulations thermiques. Elle intègre la conduction thermique entre panneaux posés (effet de bord), le vieillissement ainsi que le coefficients de sécurité EOTA. Pour mémoire: λ valeur à neuf < 0,005 W/m.K. - Résistance au poids : 180 kPa (1kPa = 100 kg/m²) soit 1,8 Tonnes/m² selon DIN EN 826 pour une compression de 10% - Classement feu : B2 selon DIN 4102-1 - Mai 1998 selon: - Rapports: Nr. H.3-145/07 et H.3-146/07 M3 selon NF P92-501 (combustion lente du film PE/PET métallisé) Euro Class E selon EN 438-7 - Masse volumique : 170 à 210 Kg/M3 selon DIN EN 1602 - Mise sous vide : < 5 mbar (Pression atmosphérique = 1.000 mbar) Cette disposition de la RT 2012, certifie la performance thermique Cordialement Ecofut.net

jeudi 3 mai 2012

Assainissement par filtres plantés


Le processus épurateur est celui d'un filtre bactérien fonctionnant en aérobiose, c'est à dire grâce à l'oxygène de l'air. Les plantes aquatiques développent rapidement un complexe racinaire complexe très important. Grâce à l'énergie solaire et lors de la photosynthèse, elles émettent de l'oxygène par leurs racines. L'oxygène arrive également au sein du substrat par "appel d'air" lorsqu'une bâchée d'effluents est évacuée rapidement et par l'appareillage d'oxygénation passive installée dans les bassins. Au voisinage du système racinaire, sur les milliers de m² de surface offertes par les pores de la pouzzolane, des milliards de bactéries aérobies (fonctionnant grâce à l'oxygène) s'activent et transforment la matière organique dans les eaux usées en matière minérale assimilable par les plantes. L'eau devient claire. C'est le processus général d'épuration de l'eau, le même que celui mis en œuvre dans les micro-stations ou les grosses stations d'épuration mais ici les bassins de plantes remplacent économiquement (ils fonctionnent à l'énergie solaire) et esthétiquement les systèmes mécanisés et sophistiqués.
Les plantes aquatiques jouent encore bien d'autres rôles. En reconnaissant les stratégies très subtiles mises en oeuvre naturellement dans ces écosystèmes, on ne peut pas simplifier le processus en disant que "les plantes mangent les effluents". Il s'agit au contraire de modes opératoires à basse énergie, très sophistiqués et que certains scientifiques, avec beaucoup d'humilité, commencent tout juste à appréhender. C'est pourtant comme cela que fonctionnent, depuis des millions d'années, tous les marais de cette planète dont la fonction, universelle et vitale pour tous les êtres vivants, est de régénérer l'eau. Les filtres à plantes aquatiques ne sont en somme que la réplique miniature d'un système de marais où "oon laisse faire la nature". C'est pourquoi on qualifie aussi ces systèmes de marais reconstitués. Avantages - Ce sont des systèmes particulièrement efficaces au niveau de l'épuration. Les analyses effectuées sur divers systèmes montrent que les effluents ont une DBO (Demande Besoin en Oxygène) inférieure à 40 mg/l une MES à 30 mg/l conformément à la réglementation en vigueur. Ces rejets finaux sont visibles et donc facilement contrôlables au niveau de la pollution par les intéressés eux-mêmes et par les services officiels - Ils rejettent des eaux réellement recyclés puisque l'on peut les réutiliser facilement en fin de parcours pour arroser le jardin. Cela constitue en amont une économie d'eau fort appréciable et cette eau de mare terminale tiédie et chargée de microorganismes facilement dégradables à la surface du sol, améliore la nutrition des plantes. Ce sera toujours la "meilleure eau" qui soit pour le jardin. - Enfin ils offrent un aspect vivant, coloré, naturel, esthétique, qui responsabilise chaque famille vis-à-vis de ses rejets. Comme le système est beau et que "tout se voit", chacun a à cœur de montrer à ses amis des bassins bien mis en valeur au sein du jardin d'agrément ou du potager. Cet écosystème complet, avec sa flore et sa faune qui se développent est aussi particulièrement pédagogique pour les enfants et aussi les plus grands ! - C'est une option alternative pour les terrains en pente et sols argileux et mal drainés. Beaucoup de particuliers ont eu des expériences désagréables de colmatage des drains après la fosse sceptique, ne veulent donc plus avoir de lits d'épandage. Ils finissent par connecter directement leur sortie de fosse sceptique au fossé le plus proche, vivant mal les reproches des voisins vis-à-vis des odeurs ... Ils sont pourtant écologiquement conscients et ennuyés de cette situation. - L'emprise au sol est raisonnable en milieu urbain ou périurbain et utilisant plutôt les pentes que le plat (plus prisé pour y installer le potager et y faire des aménagements) - C'est un investissement raisonnable (de 1000 € à 2500 € pour les matériaux pour une famille de 4 personnes) qui incite grandement à faire des économies sur l'investissement par un mode de vie et de consommation prenant en compte l'enjeu environnemental (toilettes sèches, eau de pluie, ...) - Il est possible de construire soi-même son système après avoir suivi une formation courte sur un week-end. Les inconvénients - Ces systèmes ne sont pas encore connus et reconnus vraiment par les services officiels et encore moins par les entrepreneurs qui font sur les chantiers des erreurs difficiles à reprendre par manque de formation appropriée. - Peu d'expériences françaises existent et bien sûr encore moins d'études sérieuses de suivi technique et scientifique. Cela permettrait pourtant d'optimiser le fonctionnement et vulgariser les bassins filtres comme procédé d'assainissement autonome particulièrement respectueux de l'environnement. - Ce système n'est pas adapté aux personnes qui s'absentent de leur domicile plus de deux mois en période de fortes chaleurs et de sécheresse car les plantes manqueraient d'eau ou qui vivent à plus de 1200 m en montagne pour des raisons de gels hivernaux prolongés. Il n'est pas non plus judicieux d'installer ce système chez des personnes qui délaissent habituellement leur jardin car peu d'entretien reste tout de même indispensable. cordialement ecofute.net

Broyeur de dechets alimentaires sous evier de cuisine pour de 2 à 8 personnes.

En finir avec les poubelles odorantes Les sacs qui craques La corvée journalière des ordures La nuisance des Bactéries Améliorer la salubrité de vos habitations
Facile et rapide à installer dans votre cuisine. Environ 30 mn pour un bricoleur. Le broyeur à déchets alimentaires de cuisine est un appareil qui s'insère sous votre évier. Cette solution écologique, économique, hygiénique et pratique pour l’élimination des déchets organiques ménagers a de nombreux avantages pour le foyer : 1/ Evacuation simplifiée, vers l’égout, la fosse septique ou l’épandage. 2/ Limite le nettoyage et le poids de la poubelle à sortir. 3/ Offre un economie importante de place et de sacs poubelle. Le broyeur sous évier est une solution économique performante. Il réduit les déchets organiques en fines particules et les transforme en des matières plus décomposables, aisément gérées par l’action biologique, que ce soit vers la fosse septique, la station d'épuration ou dans l'environnement ( compost, épandage, etc... ) Rien ne resiste à notre broyeur d'évier de cuisine greenforce: notre broyeur eliminera vos déchets alimentaires immediatement comme: le Poisson, coquilles d'huitres, coquilles de moules, viande, fruits, legumes, etc... Lorsque vous le remplissez avec des déchets, par la bonde de l'évier, il les broie en très fines particules. Ils sont alors évacués avec l'eau, et traités dans les eaux usées, dans le système classique de retraitement des eaux. Cette technique de gestion des déchets est : - écologique : diminution des déchets à traiter. - économique : diminution du poids des poubelles, dont l'enlèvement commence à être facturé au poids. - hygiénique : plus de déchets stagnants dans la cuisine, de mauvaises odeurs, d'insectes, etc... Ce broyeur à déchets de cuisine vous permet d'évacuer vos déchets organiques dans votre évier. Grâce à votre broyeur de déchets alimentaires Green Force, les déchets sont broyés finement. Vous insérez les déchets dans l'évier, ils y sont broyés et évacués avec les boues usées. C'est donc une manière écologique de gérer vos déchets organiques comme les restes de nourriture, épluchures, etc... Finies les odeurs désagréables dans votre cuisine, les nuisibles n'y seront plus attirés ! Le broyeur est actionné par un MOTEUR A COLLECTEUR ET AIMANT PERMANANT, de 2600 à 2800 tours /mn (nouvelle génération remplaçant les anciens moteurs à induction) Avantages pour le foyer : Évacuation simplifiée, vers l’égout, la fosse septique, ou l'épandage. Finis nettoyage, poubelles à sortir, camions bruyants à l'aurore. Économie importante de sacs poubelle, de place, de fatigue. Finis odeurs, mouches, rongeurs et vermines. Comportement éco-citoyen et responsable. Installation rapide par non professionnel. Maison plus hygiénique et saine. Avantages pour la collectivité et la planète : Plus de décharges odorantes. Plus de mouettes, de rats et d'insectes. Plus de méthanisation polluante et dangereuse. Plus de montagnes de sacs poubelle non dégradables. Fermeture progressive des stations d'incinération d'ordures Plus de collectes d'ordures à l'aurore par des camions polluants. Plus de contaminations des sous-sols par les infiltrations bactériennes. Épaississement des boues des stations d'épuration (séchage plus rapide) Réaffectation des espaces des anciennes décharges et revalorisation urbaine cordialement ecofute.net

Chauffage rayonnant par le mur ou / et le plafond :

Chaque chantier est différent nous vous conseillons tout au long de votre projet pour le chois de l'emplacement des films chauffants et aussi le mode d'installation. Chauffage rayonnement infrarouge lointain : Avantages Le chauffage par rayonnement est une technique qui utilise des ondes infrarouges pour chauffer les objets, les corps et les parois (murs, sols et plafonds). Ces derniers, en rayonnant à leur tour, diffusent leur chaleur dans la pièce. Les principaux avantages du chauffage par rayonnement sont les suivants : Une chaleur homogène du sol au plafond Des économies d’énergie (2 à 3°C de température en moins pour une sensation de chaleur identique) Aucun déplacement de poussière (pas de brassage de l’air) Un air ambiant non asséché Une efficacité contre l’humidité des murs Une souplesse d’utilisation Aucun bruit Aucune odeur Aucun entretien spécifique A savoir : Une baisse de température de 1°C équivaut à une économie de 5 à 7% sur la facture de chauffage. Plus pratique en rénovation et en neuf : De plus en plus de personnes utilise le mode de chauffage au mur pour la rénovationset le neuf. Fonctionnant sur le même schéma qu’un plancher chauffant, le mur chauffant offre de nombreux avantages. Caractéristiques :
Le mur chauffant présente des caractéristiques très appréciées des particuliers qui connaissent ce type de chauffage. Le mur chauffant fonctionne par rayonnement et diffuse une chaleur homogène dans le logement. C’est une installation qui convient à toutes les pièces de la maison: cuisine, séjour, salle à manger, chambre, salle de bain… Le fonctionnement du mur chauffant est identique à celui d’un plancher chauffant. Le mur chauffant marche grâce à des films chauffant rayonnant placé à 80cm au-dessus du sol les murs. Tous les équipements(cablages) qui servent au chauffage sont dissimulés à l’intérieur des murs. Si l’aménagement d’un mur chauffant est possible en rénovation, ce type de chauffage est le plus souvent utilisé dans le neuf lors de la réalisation du gros œuvre. Ce type de chauffage mural ne requiert pas de finition spéciale, le mur chauffant peut être recouvert avec un carrelage, du plâtre, de la peinture, du papier peint mural… Avantages Le mur chauffant ou chauffage mural est une installation qui offre de nombreux avantages. Economie d’énergie. Système de chauffage économique, le mur chauffant offre l’avantage de faire d’importantes économies d’énergie Confort thermique. Permettant de réguler l’hygrométrie ambiante, le mur chauffant apporte une chaleur homogène et uniforme. Ce type de chauffage assure un air sain, ni sec ni humide, et sans déplacement de poussière Gain de place. Autre avantage du mur chauffant, le gain de place qu’il permet de faire. Comme le chauffage au sol, ce type de chauffage ne requiert aucun radiateur. Ne nécessitant pas d’entretien particulier, il ne fait en outre aucun bruit à l’utilisation S’adaptant à tous les murs, le mur chauffant offre en outre l’avantage de valoriser le bien immobilier. Il est utile d’installer 60% de la surface de la pièce de film chauffant (GH405). Principe : Le Plafond Rayonnant est constitué d’un film chauffant a carbone dissimulé au-dessus d’un plafond en plaque de plâtre. Lorsque le film chauffant est alimenté, le film rayonne et réchauffe la plaque de plâtre qui rayonne à son tour vers la pièce. La chaleur émise par rayonnement à basse température est imperceptible, le sol, les parois et les objets sont tempérés. Le confort est homogène dans toute la pièce sans brassage d’air ni poussières carbonisées et sans bruit. Quant à l’isolant l’aine de verre ou autre avec une fine couche d’isolant mince GOLD600 réflecteur pour que l’on puisse avoir 97% de rayonnement. L’isolant sert, à la fois, d’isolant thermique (empêchant la fuite de chaleur « vers le haut » et par les ponts thermiques) et d’isolant phonique entre pièces superposées et adjacentes. La température est régulée pièce par pièce à l’aide d’un thermostat électronique 6 ordres spécialement conçus pour cette application. Mise eu œuvre : La pose, simple et rapide, doit être effectuée par un installateur qualifié. Chaque émetteur (module de dimensions standards 60x120 cm) est déposé entre les ossatures du plafond puis connecté à une ligne d’alimentation spécialisée(si ossature en métal doit être connecté à la terre) . · la chaleur est homogène · l’air ambiant est sain dans le sens où il n’y a pas de brassage de la poussière comme c’est le cas avec les convecteurs · la sensation de confort est très rapide · Vous n’avez aucun entretien car ce système de chauffage dispense d’appareils classiques de chauffage · Il sert d’isolant acoustique grâce à la laine de verre présente et le sous plafond Un thermostat électronique permet de régler la température désirée Ce système peut être installé dans toutes les pièces d’un logement ; il est particulièrement bien adapté aux pièces de grande hauteur sous plafond (maximum 4 metres) Cordialement Ecofute.net

mardi 1 mai 2012

Pont thermique

Une maison individuelle est une construction qui est sujet à la présence de ponts thermiques. Les ponts thermiques sont des points critiques d'affaiblissement de la capacité à la résistance thermique. Ils sont souvent constatés aux jointures entre planchers béton et murs, autour des ouvertures, sur les vitrages nons isolants, aux jointures entre murs charpente et couverture, ou pire dans le cas d'une isolation mal posée, défraichie... Les ponts thermiques peuvent à eux seuls être responsable de 5% des déperditions thermiques de votre maison Comment constater et jauger les ponts thermiques Il existe la possibilité de réaliser un thermogramme en faisant appel à un cabinet d'experts en bilan thermique certifié, qui équipé d'une caméra thermique donnera à voir l'ensemble de ces défauts. Au regard de ce constat, il sera alors temps de faire une étude pour remédier aux défauts d'isolation. Sont souvent aussi mis en cause les éléments de fixations des isolants, les fixations de stores, les crochets de volets ... Les ponts thermiques sont non seulement une source de perte de chaleur mais peuvent engendrer des moisissures dues à des phénomènes de condensation au regard des différences de température générées dans les parois. Dans la construction neuve le traitement des ponts thermiques répond désormais à une obligation réglementaire de moyens et ne relève plus simplement d'un choix financier, architectural ou d'un engagement du maître d'oeuvre en faveur de l'environnement. Désormais, la somme des déperditions des ponts thermiques doit être inférieure à 0,28 W/(m2SHONRT.K). Les ponts thermiques des liaisons entre les planchers intermédiaires et les murs extérieurs ne doivent pas excéder 0,6 W/(ml.K). Vous pouvez aussi détecter la présence d'un pont thermique important ou non traité car il se caractérise le plus souvent par l'apparition, durant les jours les plus froids, de condensation sur les plinthes, aux angles de murs, aux pourtours de menuiseries. En l'absence de ventilation, ces points de condensation peuvent entraîner des traces de moisissures. a bientot Ecofute.net